Royal Trux s'est établi comme un groupe culte des années 90. Jennifer Herrema et Neil Hagerty ont tous les deux grandis à Washington où ils se sont rencontrés. Adolescents, ils montent ce groupe alors qu'ils vivaient dans un entrepôt abandonné près du pont de New York Avenue. Le nom du groupe évoque des espaces omni-directionnels et vient d'une invention de Jennifer, qui avait enlevé les trux et les roues de son skateboard, pour y greffer une paire de patins à roulettes, lui conférant une plus grande maniabilité. Le duo bouge ensuite à New York, où ils jouent avec d'autres musiciens freaks, compagnons de voyage et d'influences, ce qui leur permet de s'affranchir de la tradition du groupe. Leurs idées non conventionnelles et leurs shows remplis de débauches et de nonchalance leur permettent d'acquérir rapidement une certaine notoriété. (Electre)

Ce texte propose une plongée dans un imaginaire sans illusion où le verbe construit un labyrinthe au jeu de miroirs infini et une chorégraphie de la nonchalance tragique.

Quatre brefs récits explorent, chacun dans une direction différente, les chemins kafkaiens qui ont forgé l'élaboration du roman Les bienveillantes, prix Goncourt 2006.

Petit recueil de trois textes intimes, qui offrent tour à tour l'essence spirituelle d'une vie, un exercice d'admiration et un pan énigmatique de quotidien.

Habité par une hargne fertile, l'auteur poursuit sa plongée dans le territoire des contradictions dans un récit dominé par l'incongru qui modèle un univers ductile.

Cette édition reprend des traductions effectuées par G. Bataille pour une anthologie des oeuvres du poète romantique, prévue en 1950 mais jamais parue.

Court récit sur les fantasmes secrets de l'auteur et dans lequel l'obsession du détail conforte les racines d'un imaginaire qui aurait le goût d'un sorbet au citron.

Recueil de textes écrits entre 1970 et 2010 consacrés à des poètes et écrivains dont certains furent des intimes de l'écrivain : d'Alechinsky à Valéry en passant par Bergounioux, Follain, Lambrichs, Michon ou Munier. (Electre)

Écrit en 1929 par son compatriote le philosophe Benjamin Fondane, cet essai est l'un des premiers consacrés à Brancusi. Il replace l'oeuvre dans la tradition populaire dont elle est issue, mais la confronte aussi au surréalisme, auquel Fondane participait alors.

Le poète poursuit sa quête du lieu où la disparité du monde se consume en un concentré dense de réalité.

L'écrivain évoque sa relation au livre, au texte, ses plaisirs de lecture, ses souvenirs d'écriture, son attachement à la culture et l'art...

Recueil de poèmes qui révèlent le secret des êtres et l'intimité des choses.