Cette aventure se joue avec deux dés, un crayon et une gomme. Le lecteur se met dans la peau d'un aventurier qui doit mettre la main sur des talismans et affronter le sorcier Razaak dans les entrailles de la terre. ©Electre 2018

« Quelle image surgit au nom de Francis Scott Fitzgerald ? Le Fitzgerald de la défaite, de La Fêlure ? L'excentrique de l'âge du jazz qui éprouve toujours le besoin de se faire remarquer et de se rendre insupportable ? Le romancier respectueux de son art, mais qui gaspille son talent à écrire des nouvelles pour les magazines, parce que les besoins d'argent le prennent à la gorge ? Le compagnon de Ring Lardner, de Hemingway, de Dos Passos, toujours prêt à aider les autres de ses conseils et à faire jouer son influence en leur faveur ? Celui qui a la folie de trop demander à la vie et la sagesse de préférer l'écriture à tout le reste ? Celui qui croit que l'on peut "tenir en équilibre le sentiment de la futilité de l'effort et le sentiment de la nécessité du combat ; la conviction de l'inéluctabilité de l'échec et pourtant la résolution de réussir" ? » Roger Grenier.

De mystérieuses aventures liées à des contrées lointaines, telles les îles Kerguelen, se déroulent dans un village breton.

Sarah habite une ville parfaite. Elle va dans une école parfaite. Le seul petit problème, c'est qu'elle-même, n'est pas tout à fait parfaite... Quelque chose de très étrange se passe ici à Paradiville, et il faut vite éclaircir ce mystère !

Professeur de lettre de formation, Roger Vrigny se tourne vers le théâtre en 1950 en fondant une petite compagnie, avant de se consacrer à la littérature avec son premier roman, Arban, en 19541. Également homme de radio, Roger Vrigny anime l’émission Belles Lettres sur l'ORTF en 1955, puis la Matinée littéraire sur France-Culture à partir de 1966. Il était membre du jury du Prix Renaudot. En 1963, il reçoit le Prix Femina La Nuit de Mougins, et 1989 le Grand prix de littérature de l'Académie française pour l'ensemble de son œuvre.

L'histoire d'Abd el-Kader est liée à celle de l'Algérie qu'il défendit contre la colonisation française. Battu en 1847, il est exilé en France à Amboise durant cinq ans. Il choisit la voie spirituelle en étant le barzakh, l'homme-pont entre l'Orient et l'Occident, et jusqu'à sa mort en 1883, il oeuvre pour transmettre à l'Occident la spiritualité de l'Orient.

Pour avoir sauvé le royaume Balibrige des terribles envahisseurs Bouloubasses, le marmiton François Gauwain demande à son roi, Kaboul 1er, la main de sa fille. Le roi rit, mais sa colère éclate quand la princesse accepte. Et notre héros se retrouve au cachot...Mais Gauwain s'échappe et jure de revenir un jour. C'est victorieux, et mystérieusement masqué, qu'il pénètrera à nouveau dans le château de celui qui fut son souverain...

Quand vient l'heure du bain, bébé chien est d'une humeur de chien !