Présentation d'une trentaine de gares ferroviaires belges avec un rappel du contexte historique de leur construction et une analyse du style architectural. ©Electre 2017

Ce document présente les abbayes belges remarquables et les curiosités architecturales qui les accompagnent.

Publié à l'occasion des journées du patrimoine 2015, cet ouvrage donne un aperçu du patrimoine architectural wallon hérité du XVIIIe au début du XIXe siècle à travers des récits biographiques de 40 personnalités, wallonnes et non wallonnes, liées à cette histoire et réparties en trois groupes : les commanditaires, les bâtisseurs et les gens de passage. ©Electre 2015

Histoire de ce château fort, construit vraisemblablement au XIe siècle, qui fut l'une des douze résidences et places fortes du prince-évêque de Liège. L'auteur retrace son évolution au fil des siècles, la transformation du château, les réparations et le projet de démantèlement au XVIIe siècle, jusqu'aux festivités et animations organisées aujourd'hui. ©Electre 2016

Homme de terrain en lien avec les aménageurs du territoire, l'archéologue encadre une équipe de techniciens et d'opérateurs spécialisés dont on a voulu ici illustrer le savoir-faire au travers de clichés et de témoignages. L'ouvrage rend hommage à ces hommes et femmes passionnés dont le travail contribue à enrichir les connaissances du passé en levant le voile sur le mode de vie des ancêtres.

Histoire de cette abbaye depuis sa fondation en 1216, retraçant son évolution au cours des siècles et les différents aménagements apportés à ses bâtiments. L'auteur présente les richesses architecturales et artistiques, évoque l'installation d'une communauté cistercienne de laïcs à la fin du XXe siècle. ©Electre 2016

Une invitation à découvrir le patrimoine religieux de Wallonie à travers une sélection de quarante édifices organisés en huit circuits touristiques à effectuer en un ou deux jours avec, à la fin de chaque notice, des informations pratiques pour organiser ses visites. ©Electre 2016

Pierre Schyven (* 22 décembre 1827 à Ixelles; † 6 juin 1916 à Ixelles) est un facteur d'orgue belge. Son nom de famille est parfois orthographié Schijven dans les publications de langue flamande. Apprenti chez Joseph Merklin dès la formation de l'atelier en 1843, il est nommé huit ans plus tard contremaître et chef d'atelier. Il représente Merklin à partir de 1870 lorsque celui-ci abandonne ses ateliers en Belgique. En 1873 ou 1875 (on trouve les deux dates dans la même source) il établit sa propre firme "Pierre Schyven & Cie", sise 25 rue Francart à Ixelles. Il exerce jusque vers 1902, date à laquelle la firme est rebaptisée "P. Schyven et fils", avec pour siège le 19, rue Francart. Schyven construisit plus de cent instruments principalement en Belgique, et 34 en France, 4 en Angleterre, 5 en Amérique du Sud, 1 en Australie, et un certain nombre aux Pays-Bas. Son fils François poursuit les activités jusqu'à la 1re guerre mondiale. Les orgues de cette période sont signés "Pierre Schyven & fils". Marque de fabrique P. Schyven & Cie (orgue de St Calixte à Lambersart, France, 1896) Travaillant initialement dans le même style que Joseph Merklin, il se fait ensuite remarquer en introduisant un système de dédoublement, breveté en 1882 pour les sommiers à pistons, puis en 1883 pour les sommiers à registres. Plus tard, il utilisera un système pneumatique tubulaire dérivé de celui de Weigle.

Fruit d'une collaboration entre les Archives générales du Royaume et l'Institut du Patrimoine wallon, le Guide des sources relatives au patrimoine immobilier privé vous invite à un parcours à travers les différents types de sources permettant de retracer l'évolution d'un bien immobilier privé, de sa conception, de son environnement, de ses affectations et de ses occupants successifs.

Cette synthèse sur les maisons du peuple en Wallonie, replacées dans leur contexte historique, idéologique et architectural, éclaire directement l'histoire sociale de la région évoquant, notamment, le mouvement ouvrier, les sociétés coopératives et l'architecture pour le peuple. Elle est complétée d'un inventaire sommaire des bâtiments et des magasins coopératifs. L'inventaire reprend les bâtiments par provinces et par localités. Parmi celles-ci notons : Verviers, Elouges, Pâturages, Huy, Wihéries, Dinant, Poulseur, Lodelinsart, Dour, Montegnée, Plainevaux (Neupré). Se trouve également une liste des salles de cinéma présentes dans les maisons du peuple.

Inventaire des traces monumentales et artistiques des quatorze "pays" d'Ancien Régime en Wallonie, de la principauté de Liège au Tournaisis en passant par le comté de Namur et le duché de Limbourg. Contient un tableau détaillé des appartenances des communes aux anciens "pays".

Compte-rendu du processus de réaffectation de l'ancien bâtiment de la Société d'émulation au profit du Théâtre de la Place, rebaptisé Théâtre de Liège, piloté par l'Institut du patrimoine wallon. Il retrace les préparatifs et décrit le sauvetage d'un monument classé et l'intégration dans celui-ci d'ajouts contemporains pour permettre sa réutilisation dans la vie culturelle liégeoise.

Présentation du patrimoine industriel, témoin des activités qui ont façonné la région du Centre de la Belgique : des lieux de travail, ateliers, bureaux ou halls industriels, mais aussi des lieux de vie, cités ouvrières, gares, etc. Des témoignages rendent compte de l'effervecence entrepreneuriale qui a régné dans la région du XIXe au milieu du XXe siècle.

L'hospice Saint-Gilles, érigé entre 1667 et 1724, fut établi au coeur du site du Grognon. Son développement et les travaux de restauration qui y furent menés sont retracés, en particulier ceux réalisés de 1990 à 1998, qui permirent d'y accueillir le Parlement wallon.

Composée de cinq villages, la commune de Limbourg, située entre Liège et Aix-la-Chapelle, présente un certain nombre de spécificités patrimoniales et paysagères. Ce volume éclaire la situation géographique, l'histoire locale principalement liée à l'ancienne place forte de Limbourg, et les richesses architecturales de la région.

1789. Plusieurs foyers de révolutions éclatent en Wallonie dont les plus célèbres sont la révolution liégeoise et la révolution brabançonne. En 1792 et 1794, les armées républicaines pénètrent à deux reprises sur le sol wallon et entament l'occupation de nos territoires. Les Français préparent l'annexion, officiellement entérinée par la Convention le 1er octobre 1795. Ce rattachement marque irrémédiablement la fin de l'Ancien Régime dans nos contrées après plusieurs années de troubles révolutionnaires et de campagnes militaires. Suivent près de vingt années de régime français, caractérisées par une série de bouleversements qui changent radicalement la face de l'histoire et laissent des traces encore perceptibles aujourd'hui. Si cette période a été étudiée sous de nombreux aspects, les traces matérielles qui en subsistent n'avaient jamais fait l'objet d'un recensement systématique sur l'ensemble du territoire de la Wallonie actuelle, si ce n'est pour la campagne de 1815. Le bicentenaire de la bataille de Waterloo était l'occasion de rappeler les faits liés à la chute de Napoléon mais surtout les vingt années qui l'ont précédé. Grâce à de nombreuses notices richement illustrées et à deux cartes inédites de la Wallonie sous le régime français, le lecteur partira sur les traces de cette époque qui sont parvenues jusqu'à nous. Cet ouvrage permettra au lecteur de découvrir ou redécouvrir par l'intermédiaire de ces éléments patrimoniaux l'histoire de nos contrées entre 1789 et 1815, autant de témoignages, quelquefois bien discrets, que nous ont laissés la République, le Consulat et l'Empire.

L'histoire de l'ornement depuis l'Antiquité à travers un panorama qui retrace l'évolution des différents styles artistiques et un dictionnaire qui recense de manière exhaustive les motifs et les termes d'ornementation. L'ouvrage permet de se familiariser avec le vocabulaire de l'adornologie ou l'iconographie de l'ornement.

Cet ouvrage rend compte de douze années d'inventaire systématique. Iconographie, histoire, apport des sources documentaires, modes nouvelles dans les grands domaines, styles et le rôle des créateurs, modèles ou quête d'originalité, jardins d'églises régulière et séculière, jardins d'eau, jardins botaniques, arboretums, parcs et collections botaniques, jardins productifs (potagers-fruitiers et vergers, pavillons fabriques et autres folies), ornements. L'ouvrage contient un dictionnaire des créateurs de jardins actifs dans nos régions entre le XVIIIe et le XXIe siècle.

L'histoire et les particularités des quatre sites miniers wallons inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO, des conditions de travail des mineurs aux avancées technologiques en passant par l'habitat. Les différents aspects développés sont : quatre sites témoins pour une histoire, de la proto-industrialisation au déclin industriel, un microcosme social, la mémoire du travail pour un travail de mémoire, une synthèse de l'architecture industrielle.

Histoire des réalisations en carreaux depuis l'Antiquité, en Belgique.

Cet ouvrage permet de découvrir les vestiges de l'histoire des chemins de fer wallons, qui ont été réaménagés en chemins pour usagers non motorisés par le gouvernement. Il est structuré en deux parties : un dictionnaire des termes ferroviaires et une partie consacrée à la préservation, à la restauration et à la mise en valeur de ce patrimoine.

Officier du roi dans une Pologne imaginaire, le Père Ubu est un horrible bonhomme et sa femme, une gredine : deux personnages comiques, avec leur vocabulaire particulier et leurs pittoresques scènes de ménage. Cet ouvrage est publié à l'occasion de l'exposition Ubu sous la dalle présentée à l'Archéoforum de Liège du 10 juin au 27 sept. 2011.