Un pauvre gentilhomme espagnol, obsédé par les livres de chevalerie, décide de parcourir les routes d'Espagne pour combattre le mal et protéger l'opprimé, monté sur son vieux cheval Rossinante et accompagné de Sancho Panza, un valet naïf et glouton. Texte abrégé. ©Electre 2023

Un ourson en peluche abandonné dans un bac à sable, recueilli dans une communauté de jouets, raconte son odyssée. Un texte pour apprendre à grandir, à se séparer, dans une originale mise en pages émaillée de petits dessins gais, bourrés de détails. Pour tous à partir de 6-8 ans.

La petite Verte a 11 ans et vit dans une famille de sorcières. Pourtant, elle veut être normale et sa mère désespère de transmettre le métier à sa fille. Elle décide de la confier pour une journée à Anastabotte, la grand-mère de Verte, afin que celle-ci lui inculque quelques tours. ©Electre 2024

Chaque matin, Sisanda compte les battements de son coeur et regarde sa mère, Maswala, se glisser hors de la case pour aller courir dans les collines. Sisanda est malade du coeur et ne peut pas faire grand-chose. Il faudrait l'opérer à l'étranger et cela coûte cher. Elle découvre que Maswala pourrait gagner l'argent en courant. ©Electre 2024

Suzanne, 11 ans, se dépense sans compter pour rabibocher Tim, son répétiteur d'anglais, et la belle Isabelle. Mais il lui est difficile de ne pas prendre parti. ©Electre 2024

Chaque soir, Elan raconte une histoire à sa famille. Un jour, en manque d'inspiration, il se rend à la bibliothèque pour emprunter des livres. La famille Ours et les autres animaux de la forêt envahissent peu à peu le salon des Elan. C'est alors qu'il a l'idée de restaurer un bibliobus. ©Electre 2024

Tous les matins, Millie demande à sa mère d'adopter un chien au refuge, ce qui lui permettrait de participer au célèbre club des Dogs. La mère finit par accepter, à la surprise de la fillette. ©Electre 2023

1 coffret contenant 4 puzzles évolutifs sur le thème des 4 saisons en compagnie de Simon.

Pour jouer avec ses parents le matin, il faut vérifier qu'ils sont réveillés. S'ils ne le sont pas, il faut leur apporter un grand bol de café. Si le café est renversé, il faut trouver une autre solution. ©Electre 2024

Emilien aime avant tout qu'on le laisse rêver en paix à sa copine Martine-Marie en jouant à un jeu de rôle, par exemple Le clocher d'Abgall. Mais il y a Xavier-Richard, son meilleur copain qui critique tout, sa mère qui a envie de se remarier avec l'horrible Henri Leroy et Joss, le nouveau de la classe, qui a de drôles d'idées et qui s'est pris d'amitié pour Emilien.

Cette année encore, les animaux de la forêt se retrouvent sous le vieux chêne pour manger la galette des Rois qu'ils ont préparée. Sous le regard du hibou, tous veulent la fève et tentent alors de tricher au moment de choisir leur part. ©Electre 2024

Il était une fois un petit cochon tellement propre que ses parents se désolaient, considérant qu'il leur faisait honte. Pour qu'il devienne un cochon comme les autres, ils décidèrent donc de le mettre en pension et c'est là que commencèrent les aventures du petit cochon impeccablement impeccable.

Les Mille et Une Nuits » comme si vous y étiez. Tout le monde a entendu parler des « Mille et Une Nuits », mais qui connaît pour de bon les récits de la belle Shéhérazade dont le nom est en réalité Chahrazade ? Pas grand monde. Il faut pour cela être un érudit ou bien connaître la traduction qu’au XVIIIe siècle, Antoine Galland fit de ce best-seller de tous les temps. Les enfants, eux, n’ont généralement droit qu’à des Aladin bien affaiblis ou à des Sindbad très écourtés. Ayyam Sureau, lorsqu’elle était une petite fille au Caire, a entendu raconter « Les Mille et Une Nuits » et elle en a gardé un souvenir ébloui. Pour faire partager à des enfants de langue française le bonheur qu’elle avait éprouvé, elle s’est plongée à son tour dans les versions égyptiennes. Elle y a choisi six contes qu’elle aime particulièrement, et puis, comme sa grand-mère l’avait fait pour elle, elle nous a entraînés dans les ruelles et sur les places des marchés, dans les patios ombragés des palais, dans la salle du conseil et même à l’intérieur des harems très fermés. Elle nous fait voir notre dernière heure sur le pont du bateau de Sindbad, puis mourir de soif dans le désert sur les traces d’Aladin. Elle nous a fait aussi mourir de rire en écoutant six jeunes femmes vanter la supériorité de leur beauté, et mourir de peur en nous emportant sur le dos du cheval d’ébène. Et puis, pour nous laisser reprendre notre souffle, elle nous a raconté l’histoire d’un pêcheur et de sa prise extraordinaire. Bref, elle a raconté des contes des « Mille et Une Nuits » avec la liberté que s’octroie tout vrai conteur pour être écouté, mais comme tout bon conteur, elle a respecté scrupuleusement le déroulement de chaque conte. Et si vous trouvez que Sindbad ressemble parfois à Ulysse ou bien que la brouille des frères du bol de grenade vous rappelle une histoire très familière, vous avez parfaitement raison. Ces ressemblances sont la marque des vrais contes populaires, qui ont voyagé pendant des siècles et des siècles d’une rive à l’autre de la méditerranée, en arabe, en phénicien et en hébreu, en grec, en berbère et en latin, en français, en italien...

« Les Mille et Une Nuits » comme si vous y étiez. Tout le monde a entendu parler des « Mille et Une Nuits », mais qui connaît pour de bon les récits de la belle Shéhérazade dont le nom est en réalité Chahrazade ? Pas grand monde. Il faut pour cela être un érudit ou bien connaître la traduction qu’au XVIIIe siècle, Antoine Galland fit de ce best-seller de tous les temps. Les enfants, eux, n’ont généralement droit qu’à des Aladin bien affaiblis ou à des Sindbad très écourtés. Ayyam Sureau, lorsqu’elle était une petite fille au Caire, a entendu raconter « Les Mille et Une Nuits » et elle en a gardé un souvenir ébloui. Pour faire partager à des enfants de langue française le bonheur qu’elle avait éprouvé, elle s’est plongée à son tour dans les versions égyptiennes. Elle y a choisi six contes qu’elle aime particulièrement, et puis, comme sa grand-mère l’avait fait pour elle, elle nous a entraînés dans les ruelles et sur les places des marchés, dans les patios ombragés des palais, dans la salle du conseil et même à l’intérieur des harems très fermés. Elle nous fait voir notre dernière heure sur le pont du bateau de Sinbhad, puis mourir de soif dans le désert sur les traces d’Aladin. Elle nous a fait aussi mourir de rire en écoutant six jeunes femmes vanter la supériorité de leur beauté, et mourir de peur en nous emportant sur le dos du cheval d’ébène. Et puis, pour nous laisser reprendre notre souffle, elle nous a raconté l’histoire d’un pêcheur et de sa prise extraordinaire. Bref, elle a raconté des contes des « Mille et Une Nuits » avec la liberté que s’octroie tout vrai conteur pour être écouté, mais comme tout bon conteur, elle a respecté scrupuleusement le déroulement de chaque conte. Et si vous trouvez que Sindbad ressemble parfois à Ulysse ou bien que la brouille des frères du bol de grenade vous rappelle une histoire très familière, vous avez parfaitement raison. Ces ressemblances sont la marque des vrais contes populaires, qui ont voyagé pendant des siècles et des siècles d’une rive à l’autre de la méditerranée, en arabe, en phénicien et en hébreu, en grec, en berbère et en latin, en français, en italien...

Zoé a deux ans, et aussi deux dents, mais elle ne les montre pas tout le temps. Pour rencontrer ses deux amis, il suffit d'ouvrir la porte. Et qui veut l'aider à souffler ses deux bougies ?