En Afrique du Sud, une adolescente regarde la vie, l'amour, la place des domestiques noirs, l'avenir de son pays. Elle sort d'une enfance protégée et trouve la force de réagir contre les préjugés de son milieu, d'affirmer sa personnalité et ses choix. On se laisse prendre par les personnages attachants et très humains de ce roman au style vif et entraînant.

Une nouvelle aventure pour le petit détective. En vacances chez sa grand-mère, il retrouve Déborah et Jack. Après avoir vu un reportage sur les Incas, ils veulent imiter les archéologues et percer le secret des squelettes. Il paraît qu'il y en a sur la colline aux loups.

C'est la complainte des enfants de Marlot. Pour tout le monde extérieur, Marlot n'est qu'une cité délabrée, si malfamée que les gamins ont pour nom : Racaille, Canaille, Incivilité ou Insolence. Mais pour ceux qui y vivent, Marlot est un royaume, une forteresse, où Sarah, Mbala, Fred et Ti Princess apprennent à résister. Résister aux scarabées en uniforme toujours prêts à les enfermer. Résister aux rats qui envahissent les rues et au saturnisme qui empoisonne les murs. Résister aux rois du crack et de la poudre. Résister au monde des adultes, celui des mères absentes et des pères violents. Leurs armes d'enfants ? Des pièges à cauchemar, des petits jouets en guise d'offrande, des boîtes à secrets, des talismans ou des bougies pour vénérer leur dieu pouncha. A l'instinct, comme des petits animaux, ils se glissent dans la vie des autres, dans les souvenirs enfouis, dans les secrets les mieux gardés. Car les gamins de Marlot ont aussi un don caché, celui de voir le monde autrement (que les grands)

Pour découvrir des bébés anges, des bébés ogres, des petits navires et des bébés cochons.

Léo Corbeau et Gaspard Renard ont le même âge et habitent dans la même forêt. Ils aimeraient bien jouer ensemble, mais le grand-père de Léo Corbeau ne veut pas. C'est à cause d'une vieille histoire. Il paraît qu'il s'est disputé avec grand-père Renard il y a très longtemps. Léo se demande si un jour la réconciliation sera possible.

Ollie veut absolument avoir des bottes comme Lola et Olga. Mais quand il les obtient enfin, il les trouve trop chaudes et préfère aller nager.

Pauvre Taupinette ! Non seulement ses amis ne veulent pas jouer avec elle à creuser des trous, mais en plus ils jouent ensemble à un nouveau jeu nommé "Serrez sardines !", et ils ne lui ont pas expliqué les règles. Elle aimerait bien qu'on lui explique mais ses amis sont déjà tous allés se cacher. Et elle qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez, elle doit les retrouver.

Petit Lapin est très excité car sa mère attend un bébé. Il aimerait faire des tas de jeux avec lui et lui apprendre à faire des bonds.

Une sorcière est arrivée dans la forêt. Elle se cache sous un déguisement. Si son déguisement est découvert avant demain, au lever du soleil, elle sera obligée de disparaître. Mina la souris et Victor le lapin décident de la trouver. Ils interrogent d'abord l'ours. Il dit qu'il a vu des ombres se faufiler vers les cavernes. La taupe, elle, ne sait rien. Mais une chauve-souris a trouvé un gant et l'écureuil pense qu'il a vu des traces... Il faut faire vite, le soleil va bientôt se lever. (Catalogue L'école des loisirs 2002 - p. 35)

A-t-on jamais vu une petite brebis sauter comme un cabri, grimper comme singe, nager comme un poisson ? Décidément, Charlotte n'est pas comme les autres ! "Tout ça finira mal", ne cessent de répéter les anciens du troupeau. Et s'ils se trompaient pour une fois ...

Par une cabine téléphonique, Pierre le Calme et Pierre le Nerveux ont trouvé le moyen d'entrer au pays des Contes. Ils y entraînent Déborah, et rencontrent les Sept Nains, Cendrillon, Barbe-Bleue, le Petit Poucet, le Petit Chaperon rouge, etc. Les enfantastiques vivent des aventures extraordinaires, au risque de ne plus pouvoir revenir rue Marcel-Aymé. Ils se rendent vite compte que l'imaginaire et la réalité ne font pas forcément bon ménage, et que leurs actions, même les plus béignines modifient les Contes. La vieille dame aux pigeons est évidemment de la partie, ses pigeons aussi. Mais comment remettre les Contes d'aplomb quand la réalité s'est vautrée dedans comme un chien dans un jeu de quilles. Quatorzième livre de la série des enfantastiques de la rue Marcel-Aymé, " C'est partiii! " ne raconte qu'une seule histoire, à la différence des autres. Mais on y retrouvera l'humour et les inventions de Yak Rivais, et autant de péripéties que dans les précédents !

Un marmiton est si maladroit que le roi décide de l'employer à une tâche sans danger pour lui. Il gardera les robes de la reine. Si ses journées sont douces parmi les étoffes brodées d'or, ses nuits par contre sont agitées, car dans les placards, il y a des fantômes. Un recueil de quatre contes détournés.

Il existe encore, de par le monde, en Inde, au Brésil, en Afrique, des fermes traditionnelles où humains et animaux vivent en bonne intelligence, où les rythmes de la nature sont respectés, où les gestes essentiels sont faits à la main. Il en existe aussi pas si loin de chez nous. Philippe Dumas a été le voisin de la ferme de Cogges, près dOxford, en Angleterre. Dans cet album qui rend hommage à l'harmonie d'une certaine vie campagnarde, jamais l'expression sur le vif n'avait été plus juste.

Hibiscus veut à tout prix un bébé kangourou mais n'y parvient pas. Elle finit par comprendre qu'elle est en fait une hyène dans la peau d'un kangourou et qu'elle a été adoptée. Sa mère lui a tricoté son costume avec la laine de tous ses ancêtres.

M. Anno a rêvé d'être l'apprenti de Z. Zeduan, un peintre vivant à Kaifeng, ville siège de la dynastie des Song du temps où cette ville était la capitale du commerce et des arts de l'empire chinois. M. Anno s'inspire du rouleau de dessins laissé par Z. Zeduan et accomplit un voyage sur ses traces, le long du fleuve Jaune

Devant son portrait, Dorian Gray a fait le voeu de ne pas vieillir et de laisser le tableau vieillir à sa place. Le portrait devient le miroir de son âme. Perverti par l'immoral lord Henry Wotton, Dorian enchaîne les méfaits, conservant sa beauté, tandis que son portrait s'altère.

Le style élégant qui accompagne cette parodie de conte merveilleux du 18° ne manque pas d'un charme précieux que les illustrations anodines sont loin de posséder. (Revue des livres pour enfants)

Aujourd'hui, Maman va pondre un oeuf. Alfred et Papa s'occupent du berceau. Il faut qu'il soit bien douillet. Alfred a aussi prévu un cadeau pour l'oeuf: il va lui offrir son Poupoum. "Venez voir!" crie soudain Maman, de l'autre côté de la porte. L'oeuf est arrivé. Il est très beau. Maman et Papa le couvent à tour de rôle et il se porte bien. Mais voilà que tout à coup, il se met à chanter... et à chanter faux! Alfred décide de se charger de son éducation musicale et découvre que cet oeuf a un comportement vraiment bizarre, plutôt changeant. C'est à se demander s'il n'abrite pas un peu plus de monde que prévu. Deux petites soeurs au lieu d'une, par exemple. Quoi qu'il en soit, c'est grâce à Alfred que l'oeuf va faire sa véritable entrée -en fanfare- dans la famille