Le "Grand Renouvellement" a bouleversé la vie sur Terre. Les humains ont dû s'adapter et ont abandonné les villes au profit de villages plus modestes. Ils mènent à présent une existence plus proche de la nature. C'est dans ce contexte que les "passeurs" ont vu le jour. Ces voyageurs éternels sont devenus un lien entre les régions. En plus de transporter des marchandises, ce sont d'excellents conteurs, ils sont la mémoire de l'humanité. Dorian est l'un d'entre eux. Il voyage en compagnie de son fidèle cheval, Tornado. Lorsqu'il aperçoit au loin les premières courbes de Floria, sa prochaine destination, il se remémore le récit qu'on lui demande fréquemment, celui qui explique comment tout a basculé...

Art du mot juste, phénomène mondial, le slam est partout : de la rue à la Maison-Blanche, de l’école à la maison de retraite, des villes aux campagnes, des milieux militants aux professionnels de la communication. Le slam, c’est un moyen d’expression puissant, c’est une façon contemporaine d’écrire de la poésie, de la partager face à un public et de bouleverser celui-ci en moins de 3 minutes.

Les pinceaux de Danielle pnt tracé les aquarelles. La plume de Jo a imaginé les poésies pour les accompagner. Un livre à plusieurs mains pour évoquer la mer et les roses.

Reclus sur les hauteurs de sa cité mosane, Hubert est un professeur de physique déchu suite à un grave traumatisme. Etudiant la structure de l’eau, il réalise une expérience un soir de pleine Lune, au fond de son jardin. Un violent orage va provoquer une réaction dépassant toutes ses attentes: un mystérieux fluide réagissant aux émotions et énergies humaines.

Une cinquantaine d’années partagées avec la femme qu’il aimait à la folie et aujourd’hui disparue lui laisse un goût amer dans sa solitude. C’est ce qui l’a incité à publier dans ce recueil, l’agenda de la semaine la plus atroce qu’il a connue, une semaine où la plus détestable des maladies a accompli son œuvre fatale. Pourquoi le publier ? De l’indécence diront certains, un besoin d’exorciser toute la souffrance accumulée affirmeront d’autres. Mais le poète a besoin de partager sa sensibilité, c’est indéniable !