Depuis la sortie en 2003 de son premier album novateur, ce jeune homme très talentueux a conquis un public international selon la bonne vieille méthode : petit à petit. Cet opus délivre quelques perles dont une fabuleuse version de The More I see you produit par une légende du jazz, Tony LiPuma. Il s'impose avec ce disque comme un artiste de stature internationale.

Après A letter home, entièrement enregistré en solo dans le studio de Jack White, il revient avec avec un album diamétralement opposé. Toujours dans le souci de surprendre son public, il est cette fois accompagné d'un orchestre de 92 instruments.

Le musicien canadien mène depuis 30 ans une lutte acharnée pour offrir une qualité de musique supérieure au grand public. Il a trouvé en la personne de Jack White un allié dans cette lutte et c'est dans ses studios (Third Man Records) que cet album a été enregistré, grâce à une méthode d'enregistrement sur vinyle unique au monde : Voice-O-Graph.

Un an après leur induction au Rock & Roll Hall of Fame, les punk rockers reviennent aussi hargneux qu'a leurs débuts avec cet album ! (Electre)

Quatre ans après la sortie de Koi no yokan, le groupe californien est de retour avec son septième album au nom pour le moins évocateur ! Gore a été produit par Matt Hyde et le groupe lui-même. (Electre)

Avec des riffs efficaces et une technique rythmique indiscutable ce quatrième opus du groupe installe définitivement le quatuor d'Atlanta dans la catégorie poids lourd du métal. COUP DE COEUR 2009 de Fabien Ratz, Médiathèque de Rillieux-la-Pape (69) (Electre)

Lui qui n'a jamais caché son amour pour le deep blues, délivre une fois de plus encore de grands morceaux où la magie de sa voix et la maestria de sa guitare nous replongent dans la moiteur du sud des Etats-Unis.

Une collaboration exceptionnelle entre deux compatriotes de talent, tous les deux impliqués dans les grandes causes humanitaires : Neil Young avec ses 45 ans de carrière parsemés de disques cultes (Harvest) et Daniel Lanois, producteur de renom pour Dylan ou U2.

Dans ce mythe qui raconte l'histoire d'un homme condamné à mort par un Sultan dans un désert aussi majestueux que sinistre, le groupe d'Atlanta tisse une odyssée musicale dont le protagoniste fuit sa sentence en invoquant des pouvoirs ancestraux. "Emperor of Sand, c'est la Faucheuse", admet Dailor. "Le sable représente le temps. Quand un de vos proches reçoit le diagnostic d'une maladie incurable, la première chose qui vous vient à l'esprit c'est le temps. Combien de temps reste-t-il ?". Pour capturer cette vision, c'est le producteur Brendan O'Brian qui a collaboré avec le groupe. Le résultat est un spectre profond d'émotions, soulevé par des guitares versatiles et le jeu de batterie savant de Brann Dailor, qui aura une place spéciale dans la discographie des fans de Mastodon. (Electre)

Neil Young : " Durant 98 minutes ininterrompues, Earth s'écoule comme un ruisseau de 13 chansons qui ont parcouru ma vie, des morceaux que j'ai écrit et qui évoquent notre vie à tous sur cette planète. [... ] Les animaux, insectes, oiseaux et mammifères participent même à l'enregistrement de certains de ces morceaux." Cet opus nous dévoile un Neil Young plus contestataire que jamais, sans concessions dans sa musique et dans son message. (Electre)