"Je ne regrette rien de ma jeunesse" (1946) : Kyoto, 1933. Les étudiants manifestent contre l'invasion de la Chine. Parmi eux, 2 amis éperdument amoureux de la fille de leur professeur... - "Qui marche sur la queue du tigre" (1945) : Accompagné de six de ses hommes, le seigneur Yoshitsune tente d'échapper aux spires de son frère...

L'ouvrage s'intéresse au processus de déscolarisation, aux éléments qui peuvent expliquer les processus de décrochage qui mènent à cette déscolarisation totale ou partielle. Il se fonde sur une analyse des points de vue des enseignants, des intervenants sociaux, des parents et des jeunes eux-mêmes.

1812, sur la mer Baltique, un soldat de la Grande Armée, en déroute, s'est égaré. Epuisé, il doit la vie sauve à une jeune femme dont la beauté le fascine, mais qui disparaît aussi rapidement qu'elle est apparue. Il apprend qu'il pourra peut-être la retrouver dans le château du Baron Von Leppe, un vieillard qui vit reclus. Il ne s'est jamais remis de la disparition de sa femme 25 ans plus tôt...

George Jones est gravement malade. De plus, il est persuadé que sa femme Helen essaye de la le tuer. Il écrit donc une lettre accusant cette dernière de son futur meurtre, et meurt d'une crise cardiaque. Mais comment Helen pourra-t-elle s'innocenter d'un crime qu'elle n'a pas commis ?...

Mari Collingwood et Phyllis Stone sont inséparables. Pour fêter le 17ème anniversaire de Mari, toutes deux décident de faire la fête et de rejoindre une bande de copains. En chemin, elle ont envie d acheter de l herbe et lorsqu'un jeune marginal, Junior, se propose de leur en procurer à bon prix, elles acceptent. Qui aurait pu savoir que le dealer faisait partie d'une bande de sadiques meurtriers emmenés par le terrifiant Krug. Une soirée qui devait se dérouler sous le signe de la joie tourne rapidement au calvaire. Pourtant, en faisant de ces jeunes filles leurs victimes, les bourreaux ne savent pas qu'ils viennent de signer leur arrêt de mort....

Ce troisième album dévoile une facette rock'n'roll puissante qui s'est développée pendant les tournées du groupe. En même temps, Fallon (guitare-chant) en a profité pour travailler ses textes d'un point de vue plus introspectif. La volonté du combo était de mettre en avant ce qui fait son identité, se détacher de ses inspirations sans les trahir. Des racines hardcore et un attachement particulier à la soul et au rock 'classique' sont les éléments de départ qui ont servi à façonner le plus personnel de leur disque.

Ce groupe en provenance du New Jersey fait forte impression : rythmique old school dans le rétroviseur, embruns d'ivresse punk au parfum eighties. Entre new wave et les Clash leur musique possède une force évocatrice indéniable.

Ce septième album questionne l'administration Bush : économie, politique sociale, dépenses publiques, religion. Côté musique, ils nous livrent le meilleur du son punk US, gras et sclérosé, qu'ils ont contribué à forger depuis leurs débuts en 1988. (Electre)

Réformé, un homme retourne dans sa petite ville natale. À la suite de divers malentendus, la communauté s'est mis dans la tête que c'est un héros de Guadalcanal. Il n'ose avouer les véritables raisons de son retour et accepte de devenir Maire... (Electre)

Jimmy MacDonald est un doux rêveur qui s'imagine déjà avoir gagné la somme de 25.000 dollars à un concours de slogans organisé par une marque de café. Trois de ses collègues de travail lui font une farce d'un fort mauvais goût, en envoyant un télégramme lui annonçant être le fameux gagnant... (Electre)

Mariée depuis 5 ans à Tom, Gerry Jeffers est lasse des déboires financiers dans lesquels s'enlise son couple et dont elle tient son inventeur de mari comme responsable. Aussi, d'un commun accord, ils décident de se séparer, pensant réussir chacun de son côté. Gerry rencontre alors un milliardaire qui désire l'épouser, mais son amour pour Tom est toujours aussi fort... (Electre)

Charles Pike, grand chasseur de papillons et fils d'un richissime roi de la bière américain, rencontre sur le bateau qui le ramène à New York la fatale beauté Jean Harrington en quête d'un mari. Mais si Charles connaît bien les papillons, il connaît mal les femmes, en particulier celle-ci qui le mène en bateau. (Electre)

Lassé des frasques d'Hollywood, John L. Sullivan, jusque-là réalisateur de comédies, décide de tourner un film qu'il veut plus dramatique et ancré dans la réalité. Vêtu tel un vagabond, il commence ses voyages pour mieux comprendre les aspirations des milieux défavorisés. (Electre)

Daniella cherche à comprendre pourquoi son père, qu'elle adorait, s'est suicidé. En reconstituant les derniers jours de sa vie, elle espère trouver un indice qui pourrait l'aider à comprendre ce geste qui a brisé son existence. Les souvenirs de son père, un être qui, selon les apparences, avait consacré sa vie au bonheur et au bien-être de sa fille, sont peu à peu remplacés par une réalité toute autre, celle d'un homme cruel et dangereux. Daniella va plonger dans un monde sombre et corrompu...

New York. Minable agent publicitaire de Broadway, Sidney Falco sert d'informateur au tout-puissant éditorialiste du journal Le Globe, J.J. Hunsecker, qu'il hait et envie à la fois. Celui-ci le charge d'une basse besogne : briser par un scandale l'idylle nouée entre sa propre soeur Susan et un jeune guitariste, Steve Dallas. Après un premier échec, Falco parvient à ses fins, moyennant chantage... (Electre)

Un jeu de tactique de pose de tuiles, récompensés ! Cultivez votre verger et récoltez autant de fruits que possible en jouant stratégiquement vos cartes de manière à ce que vos arbres en chevauchent d'autres portant le même fruit. Plus vous accumulez d'arbres d'un même fruit, plus votre récolte sera fructueuse.

Cette très fidèle transposition du Macbeth de Shakespeare dans le Japon médiéval se révèle une véritable splendeur plastique. Avec Shakespeare, Akira Kurosawa trouve une sorte de frère : l'univers de l'auteur de Hamlet se fond admirablement dans celui du cinéaste, qui ne renie jamais la théâtralité de son matériau d'origine. La violence, les conflits, les enjeux de pouvoir, les marques du destin, le sens du mystère trouvent ici de merveilleux équivalents japonais. D'où une réalisation expressive et théâtrale, marquée par quatre moments forts inscrits dans toutes les mémoires : l'apparition magique d'une lady Macbeth directement issue du théâtre nô ; les oiseaux chassés de la forêt qui envahissent la forteresse ; la ténacité d'un brouillard mystérieux dans les environs du château ; enfin, l'attaque finale du château par des guerriers que l'on ne distingue pas de la forêt et qui s'achève sur un buisson de flèches s'abattant sur Toshiro Mifune, l'acteur fétiche du cinéaste. À la fois fidèle à la lettre et profondément japonais, ce Château de l'araignée illustre la force d'inspiration d'un réalisateur majeur de l'histoire du cinéma, et qui reviendra 30 ans plus tard à Shakespeare, avec Ran, inspiré du Roi Lear. --Sylvain Lefort