Pour cette quatrième partie, les métiers religieux sont mis en évidence : les dignitaires et chanoines du chapitre de Saint-Hadelin en l'église paroissiale de Saint-Martin à Visé (prévots, chantres, musiciens d'église, écolâtres responsable de l'école et de la comptabilité), les récollets, les oratoriens, l'enseignement et la foi religieuse, les chanoines de Saint-Hadelin jusqu'en 1500.

L'auteur, décédé en 2009, continue son dépouillement toponymique de Visé. Ensuite le musée et la SRAHV passe en revue leurs activités.

Les bons métiers suivants sont mentionnés, avec des anecdotes régionales documentées : musiciens, comédiens, naiveurs, ciseleurs, passeurs d'eau, pêcheurs, peintres, pipiers, plafonneurs, platineurs et marchands d'armes, plombiers, pontonniers, porteurs aux sacs, potiers d'étain, savonniers, sclaideurs, transporteurs sur traineaux, serruriers, sculpteurs, tailleurs, parmentiers, couturiers, couturières, firpiers, tanneurs, tapissiers, vignerons et cotilliers, viniers, vitriers, drapiers, cardeurs, peigneurs, fileurs, retondeurs, tisserands, fouleries, blanchissage, teinturerie, dentellières, fabricants de bas et bonnets, lin chanvre, soie coton. les familles dans les cimetières d'Argenteau et de Lixhe.

Quelques aspects de la navigation mosane dans la région de Visé sont ici abordés : Navagne, les tarifs en 1656, le commerce de grains et de sel, le payage sur le fleuve, les types de bateaux, le péage de chevaux du pont Maghin, Lixhe. La période étudiée va du XVIIe au XIXe siècles.