Résolument dance, mais avec des influences rock, pop ou techno, le troisième opus de la chanteuse new-yorkaise a été produit par Red One, Fernando Garribay et White Shadow, un jeune Dj issu de Chicago.

Cinquième album pour le groupe de rock alternatif américain, emmené par Jared Leto, leader emblématique, chanteur, compositeur et acteur. Il est accompagné de son frère Shannon Leto (batterie et percussions) et Tomo Milicevic (guitare). (Electre)

Alors que le rêve fabuleux de la première moitié des années 1960 commençait à sestomper et que lacide prenait son imprévisible, la spiritualité sous ses nombreuses formes a fourni un débouché à de nombreux artistes pop. et les âmes les plus fatiguées et les expérimentateurs les plus enthousiastes du rock. Alors que le ro cher devenait plus dur et plus progressives, les drogues sont devenues plus sales et la paix et lamour ont commencé à faiblir, lindulgence individualiste promise par locculte et ses nombreuses soeurs a tiré son manteau autour dactes déjà établis et a donné naissance à dinnombrables autres descendants bâtards et hybrides. Divisé en plusieurs ramifications et débouchés - Buried Underground, Phantom Sabbaths, Satanisme populaire, She Devils, Folk Devils, Evil Jazz, Beelzefunk et Incantation Chants - « The Devil Rides In » capture un instantané de cette époque et de ce lieu, où le rock, le jazz et le funk et les gens faisaient un pas dans lobscurité, revenant avec des histoires de possession, de sorcellerie, covens, cérémonies occultes, messes noires, sabbats et rencontres avec Celui qui marche Lui-même à lenvers. Enthousiaste et festif par endroits, endommagé et prudent par endroits pour dautres, ces artistes offraient un contrepoids au fil des idées chrétiennes et orientales. la spiritualité se frayait également un chemin dans le rock à cette époque. Parfois ouvertement, parfois voilée, mais toujours avec quelque chose à dire. Organisé par linimitable Cally, et accompagné dun essai perspicace et accompagnant les images, cet ensemble promet une libération pour les monstres, les hard rockers, les graisseurs, les sombres folkies, avant-jazzers et tout le reste. Livret couleur détaillé 32 pages

Paru en 1974, Musik von harmonia apporte sa propre contribution à l'édifice musical allemand sous la forme de 8 pistes autoproduites. Le groupe se joue des styles pour s'en créer un propre et immédiatement reconnaissable. La boîte à rythmes motorisée de Cluster s'allie à une simple mélodie répétitive de clavier à 5 notes, pendant qu'en fond Michael Rother s'applique à user de synthétiseurs et de guitares pour créer cette ambiance planante qu'il utilisera à foison dans le futur Neu! 75. Après ce premier album, les allemands d'Harmonia agrandiront leurs horizons en invitant le batteur Mani Neumeier de Guru Guru mais aussi un des plus incroyables producteurs de ces années fastes, Conny Plank. (Electre)

Pitfalls est un acte de foi vers des horizons nouveaux, à la fois excitant et stimulant. Une expérience d'écoute véritablement sublime tout au long de ces 9 titres et 55 min. Avec une musique unique en son genre et une sensibilité jusque là toujours inégalée, le groupe norvégien est devenu en quelques années une référence musicale pour tous les fans de prog. Produit par David Castillo (Opeth, Katatonia). Edition limitée en version mediabook avec 1 livret spécial et 2 titres bonus. (Electre)

Le label SDBAN donne suite à sa série Funky chicken avec Funky chimes, une compilation regroupant les meilleurs titres funk, soul et jazz ayant émergés en Belgique dans les années 1970.

Le pianiste Fazil Say poursuit sa série d'enregistrements pour Warner Classics avec des oeuvres emblématiques du répertoire pour piano : le premier livre des Préludes de Debussy, six Gnossiennes et trois Gymnopédies de Satie. Fazil Say est à la fois concertiste classique, pianiste jazz et compositeur ! Son engagement, son énergie, sa passion et sa forte personnalité ont marqué à jamais les salles de concert du monde entier. (Electre)

Dans ce mythe qui raconte l'histoire d'un homme condamné à mort par un Sultan dans un désert aussi majestueux que sinistre, le groupe d'Atlanta tisse une odyssée musicale dont le protagoniste fuit sa sentence en invoquant des pouvoirs ancestraux. "Emperor of Sand, c'est la Faucheuse", admet Dailor. "Le sable représente le temps. Quand un de vos proches reçoit le diagnostic d'une maladie incurable, la première chose qui vous vient à l'esprit c'est le temps. Combien de temps reste-t-il ?". Pour capturer cette vision, c'est le producteur Brendan O'Brian qui a collaboré avec le groupe. Le résultat est un spectre profond d'émotions, soulevé par des guitares versatiles et le jeu de batterie savant de Brann Dailor, qui aura une place spéciale dans la discographie des fans de Mastodon. (Electre)