Un ouvrage consacré à la relation qu'entretiennent l'homme et l'animal dans lequel sont mis en question la nature utilitariste de ce lien, la place de l'homme au sein du vivant, l'évolution commune de l'humanité et de la faune et les apports mutuels qui découlent de la domestication. Les auteurs suggèrent des orientations pour dessiner les contours d'une relation plus équilibrée avec les animaux. ©Electre 2021

"Je ne sais plus très bien qui j'étais alors, mais ce que je suis aujourd'hui je ne le sais pas davantage", ricane le narrateur de Mont Afrique en se souvenant d'un temps où sournoisement l'heure de l'école et des amours s'était mise à changer. Il se réfugiait alors au fond des vignes, à l'ombre du Mont Afrique, entre Chenove et Morey. Le curé, les vignerons, les vaches et les cancres refusaient de faire allégeance à l'horloge allemande. Les renards, enragés de flairer les premiers placards de l'Occupation, tentaient désespérément une sortie aux lisières du Morvan. (Bibliotéca Magazine)

"Surréaliste !" Tel est l'adjectif qu'emploient le plus souvent, aujourd'hui, journalistes et hommes politiques pour qualifier un événement ou une idée qui dépassent leur entendement. Au-delà d'un mot tombé dans le domaine public et des gloses universitaires, il était utile de revenir à l'essentiel, c'est-à-dire aux textes eux-mêmes. Surréalistes et dadaïstes écrivaient comme ils giflaient les importuns qui s'interposaient entre eux et la vie. Leurs cibles sont toujours, hélas, d'une affligeante actualité : l'ordre, l'État, les religions, l'armée, la police, la laideur, la loi de l'argent, ... Plus de mille citations de cent vingt écrivains, tant français qu'étrangers, prouvent que les années n'ont pas eu de prise sur l'esprit surréaliste et dadaïste. Impertinence, provocation, autodérision et humour noir soufflent dans ces lignes qui sonnent comme un indispensable rappel au désordre.

L'évacuation des ordures a toujours posé un problème que ce soit à l'échelle des villes ou sur la planète entière. C. de Silguy aborde le sujet sous tous ses aspects : historiques, géographiques, humains et techniques, en multipliant les exemples. Cet exposé tout à la fois réaliste, pittoresque et instructif, évoque aussi le recyclage de tous les déchets.

Philippe Mélul a emprunté les trains les plus prestigieux (Transsibérien,Orient-Express, Indian Pacific), les plus insolites (train du Négus à Addis Abeba, Nariz del diabolo en Equateur, train du col du condor en Bolivie) et bien d'autres pour parcourir 58.000 km sur cinq continents. Soit 30 pays en plus de 1.500 heures sur les rails en pas moins d'une année. (Livres Hebdo)

Saillies,fulgurances et autres pensées restées inédites à ce jour, ont été retrouvées notamment dans des archives sonores. La même truculence, la même férocité que dans le précédent volume des "Pensées". (Livres hebdo : livres du mois, 10, 1998)

Au printemps 1964, le romancier niçois découvrait Montmartre et en tombait amoureux au point de s'y installer. C'est donc de ce quartier parisien, dont chaque rue est empreinte d'histoire, d'art et de poésie, qu'il parle ici avec érudition, passion et tendresse, présentant tous ceux qui firent la renommée des nuits du Lapin Agile, ce cabaret devenu aujoud'hui monument historique. (Livres hebdo : livres du mois, 4, 2001)

Une somme qui regroupe les reflexions les plus capitales de Wolinski, inspirées par son temps, ses contemporains, leurs moeurs, la société et la nature humaine. (Livres hebdo : livres du mois, 4, 2000)

Réunit des réflexions, des critiques, des observations, etc. écrites entre 1997 et 2000. (Livres hebdo : livres du mois, 2, 2004)

Vous retrouverez ici la plume inspirée des meilleurs articles de Laurence Cochet publiés dans Cosmopolitain : des années d'observation acharnée et de confidences intimes traduites avec son regard personnel. Avec beaucoup d'humour ce livre soulève des problèmes qui sont ceux de nombres de couples.