Entre 1794 et 1814, Fichte exposa une quinzaine de fois la doctrine de la science. La version ici présentée se situe dans la période intermédiaire de la philosophie de Fichte, moment supposé de l'accomplissement du tournant fichtéen.

Série d'études sur le philosophe S. Kierkegaard, à l'occasion du 150e anniversaire de sa mort. L'ouvrage a pour axe principal la philosophie de l'existence dans sa dimension éthique.

Publication d'une partie de l'oeuvre de la poétesse C. Sauvage : Etreinte mystique, Prière, L'aile et la rose, Primevère, Brouillons. Elle y évoque son expérience de jeune mère et son enchantement devant sa propre création.

Présentation des résultats de recherches, à travers textes mythiques et historiques, sur la féminité dans la mythologie grecque, la manière dont l'enfance des dieux est représentée et les rapports entre politique et religion.

Etat des lieux et des recherches concernant le philosophe Hegel à travers ces contributions abordant la logique, l'histoire, la politique, l'esthétique, la métaphysique ou l'éthique.

L'auteure montre comment, à partir des différentes implications du mot Dieu, deux écritures contradictoires chez E. Jabès (1912-1991) se font jour, dévoilant un antagonisme interne à l'oeuvre. Envisager Dieu, selon lui, est centré sur les multiples références à Dieu et sur les questions d'identité.

A la croisée de la psychanalyse et de la religion, cet essai s'interroge sur le vécu de la foi et sur les préoccupations de l'homme, tiraillé par les désirs, les fantasmes, la dépression liée à l'impuissance, l'amour et la haine, la colère et le plaisir de vivre, la méfiance et la confiance.

Un ouvrage consacré à la transmission de la culture et de l'héritage biblique. L'auteur propose 14 thèmes qu'il puise dans la mythologie générale, dans la Bible et dans la littérature. D'Homère à Le Clézio en passant par Cioran ou les poètes espagnols, 150 écrivains sont abordés. Prolonge les travaux de Maurice Cocagnac (

Cette pièce, montée à Genève en juillet 2009 à l'occasion du 500e anniversaire du réformateur, se déroule entre 1541 et 1564, période où Calvin fait triompher la Réforme au prix d'affrontements qui se dérouleront jusqu'à sa mort.

A l'occasion du vingtième anniversaire de la communauté de Sant'Egidio, sa cofondatrice propose une réflexion sur les grands problèmes sociaux et l'engagement spirituel.

J.-P. Prévost propose une réflexion sur les livres bibliques appliqués à l'étude de la Sagesse. Electre 2014

Lors de l'ouverture du consistoire des cardinaux sur la famille, W. Kasper a pris position pour la réadmission des divorcés et remariés à la communion. Il appelle l'Eglise à prendre en compte les convictions vécues de nombreux chrétiens et à considérer la situation du point de vue de ceux qui en souffrent. Electre 2014

Une définition de l'ésotérisme, suivie d'une présentation de ses différents courants : magie, kabbale, Rose-Croix, théosophie, occultisme, Nouvel âge, etc. Chacun est replacé dans son contexte historique et culturel et mis en lien avec le christianisme, en distinguant les pensées compatibles avec la foi chrétienne. L'ouvrage se conclut sur l'hypothèse d'un ésotérisme chrétien. ©Electre 2018

Qui sont les Samaritains de la Bible ? Comment se sont-ils agrégés dans la Palestine antique autour de leur temple sur le mont Garizim ? Quel effet a eu sur eux le fait de ne pas connaître l'Exil ? À quoi doivent-ils leur si mauvaise réputation ? Comment se fait-il que, de l'Ancien Testament à l'Évangile, leur judaïsme dégradé les érige en contre-exemple, ce dont le « bon Samaritain », qui fait mentir l'image reçue, constitue la preuve indirecte ? Et pourquoi se sont-ils étiolés à partir de la romanité chrétienne ? Voici la plus grande investigation jamais entreprise sur l'origine des Samaritains, établissant leur généalogie, dévoilant leur histoire.

Cette biographie de Mgr G. Lemaître (1894-1966), astrophysicien belge, considéré comme le père de la théorie du big bang, retrace la genèse des idées scientifiques ainsi que l'itinéraire spirituel de ce chercheur. Elle aborde la manière dont G. Lemaître conciliait sa science et sa foi et le rôle qu'il joua dans l'Académie pontificale des sciences.