L'auteur relate l'ascension de la famille Boël, l'une des plus fortunée de Belgique, qui doit sa richesse à son ancien empire sidérurgique aujourd'hui reconverti en empire financier. L'auteur dénonce les membres de cette puissante famille qui, malgré le fait qu'elle compte au nombre des détracteurs de l'interventionisme d'Etat, a largement bénéficié des deniers publics.

Inscrite dans le projet Postwarex (BRAIN 2.0), cette étude issue d'un colloque est la première consacrée à cette période qui a marqué les esprits et a suivi la Seconde Guerre mondiale. Les contributeurs ont eu accès pour la première fois aux archives des juridictions militaires. Ils présentent des cas individuels et montrent le rôle des différents maillons de la chaîne décisionnelle. ©Electre 2023

De Christian Bussy, on se rappelle surtout les émissions hebdomadaires où, pour le compte de ce qui était encore la RTB, il commentait, d'une voix feutrée et sur fond de musique de chambre, l'actualité des arts plastiques. On sait moins qu'il fut, au cours d'une carrière journalistique bien remplie, un compagnon de route et un fervent défenseur du surréalisme. Aujourd'hui, à l'aube de la septantaine, il reprend la parole pour confier ses souvenirs, avec la complicité bienveillante de Thérèse Marlier, attachée de presse aux Musées royaux des Beaux-Arts de Bruxelles. Il en résulte un livre intitulé Les surréalistes au quotidien – Petits faits vrais. S'il y est bien question de «petits faits», son propos en revanche est plus limité que ne le laisse entendre le titre. Bussy y évoque quelques figures majeures du surréalisme belge, et plus précisément bruxellois, Nougé, Scutenaire, Mesens ou Lecomte, sans oublier bien sûr Magritte. Mais le véritable sujet de ces entretiens, c'est Marcel Mariën, dont la rencontre prend pour lui l'apparence d'une véritable révélation : «Je suis tombé de mon cheval», dit-il, tel saint Paul sur le chemin de Damas. Étonnant aveu quand on connaît l'aversion des surréalistes en général, et de Mariën en particulier, pour la religion… Éric Delvigne, in : Les Carnets et les Instants n° 149,

Cette monographie résulte d'une recherche historique sur les tentatives expansionnistes de la Belgique aux quatre coins du monde à travers plus de 2.000 ans d'aventures et de conquêtes. L'épopée des Belges à travers les siècles montre qu'ils ont influencé les noms de villes et qu'ils se sont imposés dans des pays étrangers. ©Electre 2021

Recueil photographique illustrant les lieux patrimoniaux et touristiques belges. L'auteur intègre également des clichés publiées sur Instagram, offrant ainsi une vision contemporaine de ces lieux. ©Electre 2021

Une étude sur la laïcité en Belgique. Alors que le pays est considéré comme un Etat laïque, l'auteur s'interroge sur l'utilité de son inscription dans la constitution. ©Electre 2021

Photographies de la Belgique dans les années 1970 à 1980. H. Gruyaert immortalise et témoigne des coutumes à travers les fêtes locales, les carnavals et autres événements. ©Electre 2018

Compte rendu de journées d'étude sur la fête et l'identité des villes, au niveau européen, par la société d'ethnologie française. Cet ouvrage présente diverses fêtes perpétuées et emblématiques citadines ainsi que les singularités des fêtes locales. Il y est également question de l'idéologie sous-jacente à ces fêtes communales ainsi que de l'invention et du rayonnement de ces fêtes.

Une compilation de 200 articles qui rassemblent l'essentiel des recherches scientifiques souvent peu disponibles par dispersion, confidentialité de publication ou langue. Aborde tous les aspects économiques, sociaux, politiques et culturels de la Seconde Guerre mondiale en Belgique.