Une somme qui regroupe les reflexions les plus capitales de Wolinski, inspirées par son temps, ses contemporains, leurs moeurs, la société et la nature humaine. (Livres hebdo : livres du mois, 4, 2000)

Ce livre, qui n'est autre que le journal intime de Wolinski, illustré de nombreux dessins, qu'il tenait lorsqu'il était lycéen, prouve qu'il n'a jamais pensé qu'à ça. Tout public. (Livres hebdo : livres du mois, 7-8, 2000)

« Trente-cinq ans. L'âge des ogresses qui rôdent, claquant des mâchoires. L'âge des mantes religieuses. Les redoutables divorcées de trente-cinq ans. Petit homme triste qui rêves d'un gros doux cul pour y poser ta tête, petit homme triste, si tu en vois une à l'horizon, fuis à toutes jambes, fuis ! » Le héros des Ritals, des Russkof, de Bête et Méchant raconte dans Les yeux plus grands que le ventre comment on devient un amoureux impénitent. Les femmes et Cavanna, ce n'est pas triste, même si c'est, quelquefois, tragique. Source : Le Livre de Poche, LGF

Au XIXe siècle s'est affirmée, en France, la démocratisation de l'expression artistique. Les journaux, tels que Le Charivari ou La Caricature, confièrent des tribunes aux poètes et écrivains, et ouvrirent leurs pages aux humoristes. Parmi les humoristes sont présentés : Honoré Daumier, Alfred Grévin, Hermann-Paul, Gavarni ou Poulbot.

Après la banlieue des Ritals, l'Allemagne et la Russie des Russ-koffs et de la guerre, Cavanna rentre à Paris. Il faut survivre, sans argent et sans relations. Ses premiers dessins, il les donne au journal Le Déporté du Travail. Maria, la femme tant aimée, perdue en Russie, continue de hanter François. Il met des mes-sages sur le tableau de l'association des Déportés. Il y rencontre Liliane, « petite chèvre aux cornes agacées », rescapée des camps de concentration qui recherche, elle aussi, sa famille. Après des travaux temporaires et beaucoup de portes claquées au nez, ce sont les débuts de Hara-Kiri avec Choron et les copains; Cabu, Wolinski, Reiser, Topor, Melvin, Gébé, Fuchs. Hara-Kiri devient le célèbre journal « bête et méchant ». Sur-viennent les démêlés avec la justice, un poil bien dessiné mais mal placé... et la condamnation s'abat. La langue de Cavanna est crue mais le coeur est infiniment tendre et bienveillant. Son prodigieux humour atténue la violence et la bêtise des luttes quotidiennes. Un extraordinaire troisième volet de la vie de Cavanna. Source : Le Livre de Poche, LGF

L'auteur a grandi, il est en âge de travailler. Mais c'est le début de la guerre... La suite des Ritals, Prix Interallié 1979.