Comme nombre d'institutions fermées, la franc-maçonnerie, qui favorise les liens infra-groupaux et pratique un véritable culte du secret, s'est longtemps distinguée par son absence de communication, au point même de se discréditer auprès d'une partie du grand public. A l'ère des mass media et de l'Internet, qui prônent la transparence et considèrent la circulation de l'information comme une exigence démocratique, il semble de plus en plus difficile de conserver une image opaque et une attitude de repli.

Argumentaires, appels d'offres, relation client... la fonction commerciale évolue avec l'intégration de la responsabilité sociale et environnementale (RSE) dans les entreprises.

L'événement, quelqu'il soit, reste un moment de rencontres et d'échanges bien réels.

Le point, en novembre 2010, sur les dérives qui peuvent exister à l'usage, dans le monde, des réseaux sociaux par les entreprises dans le cadre de leurs démarches de recrutement. Des outils qui peuvent être employés pour le sourcing et la sélection, mais face auxquels les candidats et recruteurs doivent faire preuve de prudence, les candidats étant responsables de ce qu'ils y publient et les recruteurs devant s'engager à avoir une démarche éthique.

Le constructeur a-t-il passé outre toutes les règles de communication de crise ?

Le point, en mai 2011, sur l'intérêt de l'incentive dans la gestion des ressources humaines, alors que les entreprises françaises peinent souvent à inculquer de la motivation et de la cohésion à leurs équipes. Sous la forme d'un challenge commercial et/ou d'un lointain voyage, il sera un événement marquant à la fois pour les salariés et la direction. L'incentive devra cependant favoriser l'émergence d'un esprit d'équipe et permettre à tout le monde de participer, notamment au travers d'activités créatives.

Le point, en mai 2011, sur la prise en compte croissante, par les entreprises françaises, du développement durable et de l'environnement, dans l'organisation d'événements. Les acteurs du secteur sont convaincus de la nécessité de cette évolution, et faute d'assister d'ores et déjà à une explosion en nombre des éco-événements, ils sont nombreux à se mettre sur les rangs. Cette évolution suppose la mise en place de bonnes pratiques comme passer au crible toutes les étapes de la chaîne d'un événement, mener un bilan carbone pour évaluer l'efficacité environnementale de l'opération, etc.

Analyse, en janvier 2012, de la prise en charge du risque routier professionnel par les entreprises françaises. Relativement peu fréquents, les accidents de la route représentent pourtant la première cause d'accidents du travail mortel. Les entreprises ont une part de responsabilité et peuvent prévenir ces risques en mettant en place un management des déplacements, des parcs, des communications et des compétences. Une gestion dont le coût est difficilement quantifiable mais qui permet de réduire ce risque dont les conséquences humaines et économiques sont souvent très graves.