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Communisme et littérature -- France -- 1900-1945

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Centre Multimédia Don Bosco Section adultes 10 NAV Disponible
Auteurs :
Année de parution :
1975
Pierre Naville, né en 1904 à Paris et mort en 1993, également à Paris, était un écrivain, homme politique et sociologue français. Surréaliste de 1924 à 1926, communiste jusqu'en 1928, puis trotskiste avant de rejoindre le PSU, il a mené en parallèle de son engagement politique une carrière de sociologue du travail... En 1926, il publie un texte intitulé La Révolution et les Intellectuels (Que peuvent faire les surréalistes), où il tente de faire évoluer le surréalisme vers le marxisme. Ce texte provoque la rupture avec le groupe surréaliste, bien que l'orientation du mouvement ne semble pas différente. Breton : « Il n'est personne de nous qui ne souhaite le passage du pouvoir des mains de la bourgeoisie à celles du prolétariat. En attendant, il n'est pas moins nécessaire, selon nous, que les expériences de la vie intérieure se poursuivent et cela, bien entendu, sans contrôle extérieur, même marxiste. » Naville adhère au parti communiste français qui lui demande de prendre la direction de la revue Clarté[6]. Les surréalistes Louis Aragon, Jacques Baron, Breton, Paul Éluard, Benjamin Péret et Pierre Unik adhèrent au PCF en janvier 1927... in Wikipédia, 2009-02-28
Editeur :
Importance matérielle :
214 p. : couv. ill. : 18 cm
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B3 Centre de ressources 82.04(091) FAURE En réserve
Année de parution :
1977
La troupe est issue de la scission de la troupe Prémices de la Fédération du théâtre ouvrier de France, dont quelques comédiens reprochaient au metteur en scène Roger Legris, la perte de l'idéal politique. Rejoint par Jacques Prévert, qui devint l'auteur principal, ils jouèrent, lors des meetings politiques, dans les rues et dans les usines en grève, entre 1933 à 1936, de courtes pièces ou des chœurs, afin de diffuser les idées marxistes auprès du peuple. Adeptes de l'agit-prop, pour un théâtre prolétarien proche d'Erwin Piscator, Prévert écrivit alors à charge contre l'ordre établi, caricaturant les politiciens et les gros industriels (La Bataille de Fontenoy, 1932), ou ridiculisant la bourgeoisie (La Famille Tuyau de Poêle, 1933), valorisant les ouvriers (Vive la Presse, 1932, ou le Tableau des merveilles, joué dans les grands magasins parisiens en grève en 1935). Face au théâtre bourgeois, il veut favoriser l'émergence d'un théâtre du peuple. Les comédiens jouaient également Paul Éluard et Aragon. Proche du Parti communiste français, surtout à partir des émeutes de février 1934, et malgré la volonté de Prévert de ne pas être récupéré, le groupe remporta en 1933 le premier prix de l'Olympiade du théâtre ouvrier de Moscou, avec la représentation de La Bataille de Fontenoy, reprenant les vrais discours de Paul Déroulède, Joseph Joffre, Édouard Herriot et Raymond Poincaré. La compagnie fut dissoute, comme là Fédération du Théâtre ouvrier de France, après le victoire du Front populaire, sur fond de désaccord des membres quant à la nécessité de s'engager dans les Brigades internationales.
Editeur :
Importance matérielle :
402 p. : couv. ill. : 20 cm
9782267000832
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