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Contes arabes -- Ouvrages pour la jeunesse

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Wamabi 1 exemplaire(s) disponible(s)
Malmedy Réserve - Jeunesse PFF10293 Disponible
Année de parution :
2005
Les Mille et Une Nuits » comme si vous y étiez. Tout le monde a entendu parler des « Mille et Une Nuits », mais qui connaît pour de bon les récits de la belle Shéhérazade dont le nom est en réalité Chahrazade ? Pas grand monde. Il faut pour cela être un érudit ou bien connaître la traduction qu’au XVIIIe siècle, Antoine Galland fit de ce best-seller de tous les temps. Les enfants, eux, n’ont généralement droit qu’à des Aladin bien affaiblis ou à des Sindbad très écourtés. Ayyam Sureau, lorsqu’elle était une petite fille au Caire, a entendu raconter « Les Mille et Une Nuits » et elle en a gardé un souvenir ébloui. Pour faire partager à des enfants de langue française le bonheur qu’elle avait éprouvé, elle s’est plongée à son tour dans les versions égyptiennes. Elle y a choisi six contes qu’elle aime particulièrement, et puis, comme sa grand-mère l’avait fait pour elle, elle nous a entraînés dans les ruelles et sur les places des marchés, dans les patios ombragés des palais, dans la salle du conseil et même à l’intérieur des harems très fermés. Elle nous fait voir notre dernière heure sur le pont du bateau de Sindbad, puis mourir de soif dans le désert sur les traces d’Aladin. Elle nous a fait aussi mourir de rire en écoutant six jeunes femmes vanter la supériorité de leur beauté, et mourir de peur en nous emportant sur le dos du cheval d’ébène. Et puis, pour nous laisser reprendre notre souffle, elle nous a raconté l’histoire d’un pêcheur et de sa prise extraordinaire. Bref, elle a raconté des contes des « Mille et Une Nuits » avec la liberté que s’octroie tout vrai conteur pour être écouté, mais comme tout bon conteur, elle a respecté scrupuleusement le déroulement de chaque conte. Et si vous trouvez que Sindbad ressemble parfois à Ulysse ou bien que la brouille des frères du bol de grenade vous rappelle une histoire très familière, vous avez parfaitement raison. Ces ressemblances sont la marque des vrais contes populaires, qui ont voyagé pendant des siècles et des siècles d’une rive à l’autre de la méditerranée, en arabe, en phénicien et en hébreu, en grec, en berbère et en latin, en français, en italien...
Collection :
Contes des mille et une nuits
Neuf
Neuf
Importance matérielle :
126 p. : ill. en n. : 19 cm
9782211078597
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Malmedy Réserve - Jeunesse PFF10292 Disponible
Année de parution :
2005
« Les Mille et Une Nuits » comme si vous y étiez. Tout le monde a entendu parler des « Mille et Une Nuits », mais qui connaît pour de bon les récits de la belle Shéhérazade dont le nom est en réalité Chahrazade ? Pas grand monde. Il faut pour cela être un érudit ou bien connaître la traduction qu’au XVIIIe siècle, Antoine Galland fit de ce best-seller de tous les temps. Les enfants, eux, n’ont généralement droit qu’à des Aladin bien affaiblis ou à des Sindbad très écourtés. Ayyam Sureau, lorsqu’elle était une petite fille au Caire, a entendu raconter « Les Mille et Une Nuits » et elle en a gardé un souvenir ébloui. Pour faire partager à des enfants de langue française le bonheur qu’elle avait éprouvé, elle s’est plongée à son tour dans les versions égyptiennes. Elle y a choisi six contes qu’elle aime particulièrement, et puis, comme sa grand-mère l’avait fait pour elle, elle nous a entraînés dans les ruelles et sur les places des marchés, dans les patios ombragés des palais, dans la salle du conseil et même à l’intérieur des harems très fermés. Elle nous fait voir notre dernière heure sur le pont du bateau de Sinbhad, puis mourir de soif dans le désert sur les traces d’Aladin. Elle nous a fait aussi mourir de rire en écoutant six jeunes femmes vanter la supériorité de leur beauté, et mourir de peur en nous emportant sur le dos du cheval d’ébène. Et puis, pour nous laisser reprendre notre souffle, elle nous a raconté l’histoire d’un pêcheur et de sa prise extraordinaire. Bref, elle a raconté des contes des « Mille et Une Nuits » avec la liberté que s’octroie tout vrai conteur pour être écouté, mais comme tout bon conteur, elle a respecté scrupuleusement le déroulement de chaque conte. Et si vous trouvez que Sindbad ressemble parfois à Ulysse ou bien que la brouille des frères du bol de grenade vous rappelle une histoire très familière, vous avez parfaitement raison. Ces ressemblances sont la marque des vrais contes populaires, qui ont voyagé pendant des siècles et des siècles d’une rive à l’autre de la méditerranée, en arabe, en phénicien et en hébreu, en grec, en berbère et en latin, en français, en italien...
Collection :
Contes des mille et une nuits
Neuf
Neuf
Importance matérielle :
126 p. : ill. en n. : 19 cm
9782211078610
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