Recueil d'articles, de recettes, de lettres, où J. Harrison raconte son goût de la bonne chère et du bon vin.

Denis Grozdanovitch a notamment publié Petit traité de désinvolture (2002), Rêveurs et nageurs (2005), et, plus récemment, L'Art difficile de ne presque rien faire (2009). Ce lecteur érudit, cinéphile et photographe passionné, a mené en parallèle une carrière de sportif professionnel et joué régulièrement aux échecs en compétition

Quinze femmes françaises de diverses origines proposent un plat venu de leur histoire familiale. En plus des recettes, elles racontent comment elles vivent leur identité culturelle et dessinent en creux une France heureuse de son métissage. ©Electre 2018

Peu importe d'où l'on vient, il faut simplement croire en ses rêves. Aujourd'hui j'ai presque 30 ans, et ce que je retiens de mon parcours, parfois chaotique et atypique, c'est qu'il faut croire en soi, ne pas faire semblant, ne jamais agir pour faire plaisir aux autres et surtout surtout travailler avec acharnement. "Si ce livre voit le jour, c'est d'abord grâce à vous." Caroline Receveur.

À l'heure de la course épuisante au bonheur, à l'époque du bien-être en cachets, Héctor Abad Faciolince se fait avec humour l'avocat de la mélancolie, l'ambassadeur des élans du coeur et nous livre un traité plein de grâce pour apprivoiser la tristesse.

L'auteur raconte avec humour et tendresse les gourmandises qui, après avoir bercé son enfance algérienne, rythment sa vie familiale, les dîners et les casse-croûtes variés.

Thanh-Van Tran-Nhut est née à Hué, au Vietnam, en 1962. Sa sœur Kim naît l’année suivante. Elles suivent leurs parents qui s’installent aux Etats-Unis en 1968, puis en France en 1971. Après le baccalauréat, leur chemin se sépare. Kim fait des études de physique en France, tandis que Thanh-Van repart aux Etats-Unis. Son arrière grand-père était mandarin à Huê (ancienne capitale impériale du Vietnam). Sous la plume de Thanh-Van, cet aïeul est devenu le Sherlock Holmes vietnamien, un mandarin de papier qui entretient avec sa descendante un lien ténu avec le Vietnam du 17ème siècle. Un lien littéraire qui n'a rien à voir avec la Nostalgie. Tanh-Van déteste ce mot...

Rendant hommage aux miracles de la nature et aux bonheurs de la cueillette, Alina Reyes nous convie à une promenade savoureuse dans les forêts, les jardins et les prés pour y retrouver les plaisirs simples offerts par la contemplation, la dégustation et la récolte des fruits, des herbes, des fleurs Bouleversante de sincérité, dans une langue dune grande force poétique, elle exprime ici une vision du monde bien à elle et se livre démasquée. Des prunes aux roses, de la lavande aux cerises, du serpolet aux myrtilles, des cèpes à loseille sauvage, des coquillages aux poignées de neige, Alina Reyes nous fait retrouver les paradis intimes de lenfance, des paysages éclatants de sèves et de bourgeonnements, un monde foisonnant de senteurs gourmandes. De lenfance jusquà son refuge daujourdhui dans les contreforts des Pyrénées, elle nous donne à partager son amour immodéré de la vie