Aller au contenu principal

J'ai perdu mon corps

Article

couverture du document
Connu depuis quinze ans des habitués des festivals d'animation, Jérémy Clapin fait une entrée fracassante dans le long métrage avec "J'ai perdu mon corps", Grand Prix de la Semaine de la critique à Cannes, Cristal du long métrage et prix du public à Annecy, et prix de la critique à Los Angeles. Preuve que la ténacité paye parfois : c'est presque seul contre tous - avec son producteur Marc du Pontavice - qu'il a mené à bien un projet dont personne ne voulait. Preuve aussi de la richesse de l'animation française.
Numéros de page :
pp.6-8, 10-14

Article

couverture du document
Auteurs
Bulletin : Première 501
Grand Prix de la Semaine de la critique, Cristal du long métrage et Prix du public à Annecy, "J'ai perdu mon corps" est l'un des films français les plus remarquables de l'année. Son réalisateur, Jérémy Clapin, un petit génie de l'animation, revient pour nous sur ses obsessions.
Numéros de page :
pp.64-69

Article

couverture du document
Auteurs
Bulletin : Première 501
Célébré à Cannes et à Annecy, ce premier long métrage révèle un prodige de l'animation en la personne de Jérémy Clapin, digne héritier des maîtres japonais du mélo teinté de fantastique.
Numéros de page :
pp.96-97

Article

couverture du document
Auteurs
Entre comédie romantique et film d'action, un premier long métrage d'animation éblouissant qui raconte une vie par le prisme des sensations les plus infimes, porté par un lyrisme bouleversant.
Numéros de page :
pp.54-55

Article

couverture du document
Date parution pério
2019-11-01
Plébiscité à Cannes, à Annecy ou encore à Los Angeles, "J'ai perdu mon corps", de Jérémy Clapin est un premier long métrage d'animation singulier qui oscille entre l'odyssée épique et le récit intimiste. Une main, détachée de son corps, erre dans la ville à sa recherche. Dans son périple, elle se souvient de son existence et les flashbacks de l'enfance se mêlent au souvenirs plus récents.
Numéros de page :
pp.160-163