Jusqu'aux années 2000, la violence nationaliste a stoppé toute pression immobilière en Corse. Le conservatoire du littoral a pu alors acheter et sanctuariser des sites exceptionnels. La donne a depuis changé, les spéculations plus ou moins douteuses et les passe-droit ont repris. L'auteure fait un état des lieux et montre le rôle grandissant du grand banditisme corse.