Cet essai va à l'encontre de la justification par le darwinisme des manifestations de la loi du plus fort que sont l'élitisme social, la domination de race, de classe ou de sexe, l'esclavagisme, etc. Il montre qu'en réalité, la civilisation, née de la sélection naturelle des instincts sociaux et de l'intelligence, promeut au contraire la protection des faibles à travers le droit et la morale.

Cette reprise d'une série de conférences sur les fondements biologiques s'attache à une caractéristique humaine : la morale. Le psychologue et primatologue réfute les théories évolutionnistes qui font de la moralité un fait culturel et nient donc la continuité entre les comportements animaux et humains. ©Electre 2017