Le« scandale de la machine à fabriquer des enfants». C'est ainsi que les médias surnomment le gigantesque procès qui se déroule en ce moment à Timisoara, à l'ouest de la Roumanie. Au moins soixante-dix couples se seraient vu spolier leurs ovocytes ou leurs embryons par des médecins. Et ce, sans leur consentement. Cette situation n'est pas inédite dans un pays qui repousse sans cesse le moment de légiférer sur la procréation médicalement assistée.

Un rein, un bout de foie... Dans les bas-fonds du Caire, les réfugiés qui rêvent de rejoindre l'Europe sont les principales victimes d'un trafic d’organes lucratif, que les autorités ne parviennent pas à endiguer.

Aux abois financièrement, de plus en plus d’Iraniens vendent leurs organes sur le marché noir mais aussi à l’étranger, notamment en Irak, aux Émirats arabes unis ou en Turquie.