Allemand amoureux de l'Italie, beethovénien et schubertien en quête de lumière, Wilhelm Kempff voit l'essentiel de sa discographie en solo repris dans un coffret.

Après des années de grande discrétion, Ivo Pogorelich revient en force. En récital au Théâtre des Champs-Elysées, où il n'était pas paru depuis dix-huit ans, on pourra savourer à nouveau un art du piano unique et une personnalité à l'abri de tout conformisme. Avant, peut-être, qu'il reprenne le chemin des studios...

La genèse du second concerto pour piano de Johannes Brahms ne connaît aucun des dilemmes, tribulations et repentirs qui ont marqué, vingt ans plus tôt, celle du premier. Elle commence paisiblement un 6 mai 1878, veille d'anniversaire où, rentrant d'Italie, le compositeur couche sur le papier quelques premières idées, et se poursuit sans heurt dans sa villégiature de Carinthie, sur le lac Wörther, d'où il écrit...

A Londres, le 9 juin 1840, Franz Liszt joua, sur un pianoforte, Beethoven et Schubert. L'événement fut baptisé "récital".

Les difficultés redoutables des « Etudes » sont peu en comparaison de leurs audaces musicales. Ces pièces ne sont pas des exercices de virtuosité, mais de la musique, à jouer avec naturel.

″Lieberstraum″ - rêve d'amour en français - ne pouvait mieux débuter le récital de cette jeune pianiste géorgienne. Sa virtuosité et son charme nous dévoilent les sortilèges lisztiens.