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Politique et gouvernement -- Bolivie -- 2006-....

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Amérique latine a eu son moment de grâce, quand, la page des dictatures militaires et des régimes autoritaires une fois tournée, l’insertion dans la mondialisation paraissait la destiner à un développement économique rapide, en plus de la consolidation démocratique. Or, la voici rattrapée par ses vieux démons sous de nouveaux visages. La Bolivie d’Evo Morales défraie peu la chronique. Elle illustre pourtant au mieux, montre Philippe Boulanger, la façon dont un sursaut populaire salué pour sa promesse démocratique peut se dévoyer en populisme destructeur.
Numéros de page :
pp.32-42

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Elu à la présidence de la Bolivie sur un programme révolutionnaire en 2006, Evo Morales s’est mué en treize ans en autocrate vieillissant qui projette de s’éterniser au pouvoir. Il est le dernier des dirigeants progressistes parvenus au pouvoir dans les années 2000. Il s’appuie sur les forces armées et les syndicats de planteurs de coca pour consolider un régime qui s’apparente à une dictature. Depuis 2014, la Bolivie traverse une crise politique qui pourrait s’accentuer après les élections présidentielles et législatives d’octobre 2019.
Numéros de page :
pp.21-30

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Auteurs
Date parution pério
2018-08-01
Alors que les forces conservatrices sont à l’offensive en Amérique du Sud, un pays demeure ancré à gauche : la Bolivie de M. Evo Morales, où la contestation se concentre désormais au sein même du camp politique du chef de l’État, notamment chez les mineurs. L’histoire singulière du parti présidentiel, le Mouvement vers le socialisme, éclaire cette situation étonnante. Présence également d'un article intitulé "D'étranges coopératives de mineurs".
Numéros de page :
pp.6-7