La candidature du fils de l'ancienne présidente Cory Aquino à la présidentielle de 2010 prouve une nouvelle fois l'emprise des dynasties sur le pays. Un verrouillage qui empêche l'archipel de prendre son essor.

Elu le 10 mais 2010 à la tête du pays, Benigno Aquino III aura fort à faire pour réformer l'archipel. La légitimité qui lui ont conférée les électeurs ne sera pas superflue, estime l'écrivain Miguel Syjuco.