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Prix Goncourt -- Récits personnels

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Année de parution :
1987
Secrétaire particulier de Jean Giono (sur qui il écrira un essai) à Manosque, critique musical à Paris, chroniqueur littéraire à l'ORTF, il entame sa carrière d'écrivain avec son roman « Retour à Uzès » en 1967(prix de l'académie française). Il a publié une vingtaine d'ouvrages, principalement des romans. Lauréat du Prix Goncourt en 1972 pour « L'épervier de Maheux », le succès (2 millions d'exemplaires, traduction en 14 langues), la mort brutale de son père écrasé par un chauffard et un divorce, le plongeront dans une profonde dépression qui lui fera écrire quinze ans plus tard « Le prix d'un Goncourt ». Avant ce "Prix d'un Goncourt", il écrivit néanmoins plusieurs romans "La Caverne des Pestiférés" (2 tomes) ou encore "Les années Sauvages" ainsi que des essais sur Julien Gracq et Jean Giono et un livre d'entretiens "Le nez dans l'herbe", après, s'en suivront une dizaine de romans, dont le dernier "Passions Futiles" est paru en octobre 2004, aux éditions de La Martinière. Passionné de musique (son père était chef d'orchestre) et de cinéma (il était ami avec l'actrice Sigourney Weaver à qui il consacra un ouvrage), il préparait un nouveau roman et un livre sur Maurice Ravel. Après l'immense succès de "son épervier", il se tint férocement à l'écart des salons littéraires et des médias parisiens qui en firent en écrivain régionaliste, ce qu'il n'était pas, ce qui au bout du compte occulta, injustement, le reste de son œuvre. Après avoir un temps séjourné dans son chalet du mont Aigoual, Jean Carrière vivait depuis une quarantaine d’années dans une maison au pied des vignes à Domessargues, où ses obsèques ont été célébrées le 11 mai 2005. in : Wikipédia, 12-12-2006
Importance matérielle :
234 p. : in-8
9782221053614
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B3 Centre de ressources Littérature et Bandes dessinées - étage 3 8 BIO ROUAUD R Disponible
6
Série :
Année de parution :
2023
«  Comédie d'automne constitue le sixième et dernier épisode de «  La vie poétique  ». Je travaillais au kiosque quand «  le tournant de la rigueur  » nous a précipités dans une course à l'argent. Parmi les habitués se trouvait un homme d'une soixantaine d'années, Albert, dont j'appris au fil du temps qu'il était rentier, d'où son intérêt pour la seconde édition du Monde et des cours de la bourse. Spécialiste de Stendhal, il sera mon premier lecteur, et un conseiller avisé. Il est un des trois personnages centraux du livre. Avec ma mère qui ne vit pas d'un bon œil la parution des Champs d'honneur, et encore moins l'attribution à son fils du prix Goncourt. Ce qui nous amène à cette «  comédie d'automne  ». On pourrait croire que le prix récompense le seul mérite d'un livre. Ô naïveté, les arcanes de l'édition ne fonctionnent pas sur des critères aussi élémentaires. C'est oublier les intérêts économiques, les rivalités, les ambitions, de sorte que les jurés du prix, dont la probité aux yeux de la presse était sujette à caution, furent très contents de pouvoir l'attribuer à un innocent n'ayant rien à voir avec le milieu, qui plus est auteur d'un livre paru aux très austères et vertueuses Éditions de Minuit. L'entreprise de blanchiment était parfaite. Le troisième personnage crucial, car c'est par lui que le livre existe, c'est l'éditeur. Moins détaché qu'il n'y paraît. Et le narrateur  ? Tout d'abord spectateur, venant d'une époque où ce genre de prix était discrédité, il assiste depuis son kiosque à cet étrange ballet de journalistes, de curieux, de rumeurs, de caméras de télévision, sans se sentir vraiment concerné. Le moment venu, ce ne sera pas aussi simple. Mais c'est bien grâce à ce livre qu'il fit la connaissance de deux hommes merveilleux  : Bernard Rapp et Robert Doisneau. Ensuite, ce n'est plus la même histoire.  »J.R.
Editeur :
Collection :
La vie poétique; 6
Littérature française
Importance matérielle :
1 vol. (284 p.) : 21 cm
9782246803829
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