Salons littéraires -- France -- Paris ( France) -- 20e siècle
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Année de parution :
2001
4ème de couv. : "Elle avait un nom illustre, Noailles, et un aïeul sulfureux, le marquis de Sade. Mais la muse du bizarre a su ajouter un prénom, Marie Laure, et un destin. Née en 1902 au croisement d'une dynastie de banquiers allemands et de l'aristocratie française, morte en 1970 quand les avant-gardes ont remplacé les salons l'extravagante Marie Laure n'aura jamais cessé d'être l'héritière au sang mêlé. L'abbé Mugnier écrivit à son propos : « Tous les sangs sont dans le sien. » Marie Laure résume les contradictions du siècle. Étrangère et iconoclaste, frivole et décalée, elle fut à la fois l'enfant qui déchira les lettres que Proust envoyait à sa grand-mère, et la « Mademoiselle Lingot » qui épousa Charles de Noailles. La « Lolita de Cocteau » prisonnière d'un amour impossible et l'amie de René Crevel. La mécène de L'Âge d'or, le film de Bunuel qui fit scandale. La protectrice de Man Ray, de Mallet-Stevens inventant leur villa cubiste de Hyères. L'hôtesse recevant le tout Paris dans son « kolkhoze du snobisme » et l'activiste du gratin qui s'engage pour les républicains espagnols en 1936. Une femme savante et une femme fragile. Elle fut de bien des querelles artistiques et endura les blessures d'amour jusqu'à la fin. Vieillissant en mère Ubu, elle choqua, capricieuse, tragique. La biographie de Laurence Benaïm, riche de documents inédits, rend hommage à cette muse inclassable, qui a inventé un style."
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Importance matérielle :
415 p.-8 p. de pl. : couv. ill. : 23 cm
9782246529811
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Année de parution :
1987
Femmes de la rive gauche étudie les contributions à la vie du Paris littéraire entre 1900 et 1940 de grandes américaines et anglaises, telles que Djuna Barnes, Nathalie Barney, Sylvia Beach, Caresse Crosby, Nancy Cunard, Hilda Doolittle, Janet Flanner, Anaïs Nin, Jean Rhys, Gertrude Stein, Edith Warton... Ecrivains, éditeurs, libraires, journalistes, tenant salon au coeur du Paris culturel, elles ont nourri de leur énergie créatrice originale le grand mouvement de la modernité. Au carrefour de la vie et de l'art, au croisement de la mémoire et de l'histoire, cet essai écrit la face cachée du tissu culturel, explore la richesse d'une écriture que le modernisme a réprimée, occultée ou tenté de nier. Née du désir de redonner à celles qui en ont été chassées leur vraie place dans le monde littéraire et artistique, cette étude se refuse à définir après coup une poétique moderniste féministe, mais, parcourant les communautés de femmes établies sur la rive gauche de Paris, elle s'attache à la diversité féconde d'une pratique littéraire liée à leurs choix de vie, politiques, esthétiques, sexuels, et à ce Paris où elles se sont découvertes écrivains et femmes.
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Collection :
Essai
Essai (Paris. 1984)
Importance matérielle :
502 p._[31] p. de pl. : plan : 24 cm
9782721003300
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Année de parution :
1991
Première biographie consacrée à Marguerite Eymery, dite Rachilde (1862-1953), fondatrice avec son mari Alfred Valette du journal Le Mercure de France, en 1889. Une analyse critique de son oeuvre et une approche de l'esthétique romanesque de ce singulier auteur.
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Importance matérielle :
1 vol. (414 p.) : couv. ill. : 21 cm
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