Après "Ilo Ilo", Caméra d'or à la Quinzaine des réalisateurs du festival de Cannes en 2013, Anthony Chen a tenté de bâtir une production anglo-saxonne depuis Londres, mais l'entreprise n'a pas encore abouti. Dans "Wet Season", son deuxième film, il revient à ses racines : Singapour, petit territoire isolé, mais un des plus riches au monde, multiethnique, multilingue, multireligieux. Des personnages solitaires, parce que abandonnés, s'y croisent et tentent de communiquer.

Séduit par le discours proentreprise de l'État de Kaduna, le géant singapourien a décidé d'investir dans des usines de production de poussins et d'aliments pour animaux.

Déjà implanté en Côte d'Ivoire et au Nigeria, le poids lourd sénégalais a noué une alliance avec Wilmar pour accélérer son développement.

Sous les ciseaux à bois de la famille Ng, les divinités des riches panthéons bouddhistes, taoïstes et populaires s’incarnent dans des statues colorées. Un art traditionnel en péril.

La cité-Etat est une ville-monde vulnérable face à la rétractation des échanges internationaux, mais qui a montré sa capacité de résilience face à la crise sanitaire du Covid-19.

La France s'apprête à lancer une application de géolocalisation pour traquer la maladie. De quel pays peut-elle s'inspirer ?

Bonjour, je m'appelle Angèle. Mes parents, ces gros inconscients, ont loué notre maison à des gens qui vont sans doute y mettre le feu, ma mère s'est mise en tête de nous faire classe, mon père de mener son boulot d'auteur par Internet, et nous voilà partis pour un voyage en Asie du Sud-Est.

À Singapour, l'école primaire dure 6 ans. C'est ma dernière année. Je vais bientôt passer un examen très important ici : le PSLE (Primary School Leaving Examination). Priscilla, 12 ans.