A travers maintes anecdotes, l'auteur dresse le portrait de son père, ses grands-parents, sa famille, son enfance, au coeur de sa Bourgogne natale. Profondément attachée à ses racines, elle semble se nourrir encore aujourd'hui de l'amour qu'on lui a prodigué dans son enfance.

L'auteur raconte les grandes étapes de la vie d'Henri Vincenot. S'appuyant sur des propos tenus par l'écrivain, des extraits de son oeuvre, des anecdotes, il trace un portrait chaleureux de l'homme, bon vivant, rempli de bon sens et de sagesse

4ème de couv. : "Voici l'épopée véridique du Chemin de Fer français à travers l'histoire d'une famille, celle d'Henri Vincenot : son grand-père était mécanicien de route, son père dessinateur-projeteur de la Voie, et lui-même a travaillé à la Compagnie P.L.M., avant de collaborer à la Vie du Rail. Henri Vincenot, dans ces souvenirs, fait revivre les travaux, les joies et les drames familiers de ce monde du rail, où la locomotive était un monstre sacré que, tout enfant, au sortir de l'école, il dévorait des yeux du haut du Rempart de la Miséricorde"

Pour mieux nous parler du pays qu'il aime et où il est né, l'auteur se penche sur son enfance, quand il vivait chez ses grands-parents, dans un petit village de Bourgogne. Tout ici devient une fête, qu'il s'agisse de la visite d'une cousine extraordinaire, nourrice à Paris ou de ses repas interminables de fin d'année au cours desquels le petit garçon écoute, fasciné, les récits des hôtes.

Pour mieux nous parler du pays qu'il aime et où il est né, l'auteur se penche sur son enfance, quand il vivait chez ses grands-parents, dans un petit village de Bourgogne. Tout ici devient une fête, qu'il s'agisse de la visite d'une cousine extraordinaire, nourrice à Paris ou de ses repas interminables de fin d'année au cours desquels le petit garçon écoute, fasciné, les récits des hôtes.

4ème de couv. : "Voici l'épopée véridique du Chemin de Fer français à travers l'histoire d'une famille, celle d'Henri Vincenot : son grand-père était mécanicien de route, son père dessinateur-projeteur de la Voie, et lui-même a travaillé à la Compagnie P.L.M., avant de collaborer à la Vie du Rail. Henri Vincenot, dans ces souvenirs, fait revivre les travaux, les joies et les drames familiers de ce monde du rail, où la locomotive était un monstre sacré que, tout enfant, au sortir de l'école, il dévorait des yeux du haut du Rempart de la Miséricorde"

Une fois son diplôme d'HEC en poche, H. Vincenot tente de convaincre sa femme, Andrée, d'abandonner le monde et de s'installer dans un hameau en ruine au creux d'une petite combe bourguignonne. Le jeune couple va tout faire pour préparer cette aventure digne des pionniers du Nouveau Monde.

La vie toute crue est une billebaude permanente, a écrit Vincenot dans ses carnets intimes. Sa vie même est une illustration de cette phrase. Penseur passionné et artiste prolifique - écrivain mais aussi peintre, sculpteur et homme de théâtre -, Vincenot était un homme drôle, aimant les plaisanteries et les anecdotes savoureuses. Il ne s'est pas contenté de dépeindre la Bourgogne paysanne et artisane du début du XXe siècle, mais a billebaudé à Paris, en Bretagne et au Maroc. En possession de tous les écrits de son père, Claudine Vincenot relate, avec un réel talent de conteuse, l'existence de celui-ci, en se fondant, pour l'enfance et la jeunesse, sur les histoires que lui ont confiées ses aïeules concernant le « petit Henri », puis sur les journaux intimes que l'écrivain a tenus de 1927 à 1945. Enfin, allant chercher dans l'oeuvre publiée des extraits dont Vincenot lui-même disait qu'ils étaient issus de son vécu, elle nous propose une réflexion captivante sur les sources de la création artistique. L'occasion de (re)découvrir un auteur qui a fait les belles heures d'Apostrophes, et dont le titre phare, La Billebaude, s'est vendu à près d'un million d'exemplaires.