Wallonie (Belgique) -- Vie intellectuelle -- 20e siècle
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Année de parution :
1976
"Né le 28 novembre 1899 à Stembert d'un père pharmacien et d'une mère institutrice, Fernand Desonay a accompli une brillante carrière de professeur, de critique et d'écrivain, à l'enseigne de la philologie. À la fin de ses humanités au Collège Saint-François-Xavier de Verviers, il entre au lendemain de la guerre à l'Université de Louvain, pour y mener à bien des études de philologie romane et de philosophie thomiste. Étudiant remarqué, il prépare à Paris une thèse de doctorat qu'il soutient en 1922 avec la plus grande distinction, et publie sous le titre Le rêve hellénique chez les poètes parnassiens en 1928. À Paris, Fernand Desonay a suivi les cours de Joseph Bédier, d'Abel Lefranc et de Mario Roques, mais s'est surtout lié d'amitié avec Pierre Champion, qui lui donne le goût de la littérature des XVe et XVIe siècles, avant d'éditer avec lui Le Petit Jehan de Saintré d'Antoine de La Sale. À ce dernier, Desonay a consacré par la suite tout un cycle de travaux, dont un durable Antoine de La Sale aventureux et pédagogue (1940)". in :http://www.arllfb.be/composition/membres/desonay.html (Site internet de l''Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique, 2009-03-20)
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Editeur :
Collection :
Connaître la Wallonie
Importance matérielle :
1 vol. (158 p.-[3] p. de pl.) : 18 cm
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Année de parution :
1986
Ses débuts en philosophie et lettres et en droit à l'ULg sont excellents. Mais la littérature et l'étude du grec l'attirent davantage. Directeur d'un mince organe polygraphié, L'élan littéraire, il rachète la revue au cercle d'étudiants liégeois qui en est propriétaire. Mockel en change le titre et lance La Wallonie, revue symboliste destinée à tous ceux qui ont à coeur l'avènement littéraire de notre patrie et surtout de notre Wallonie aimée. [...] intensément originale et artiste, elle vaut que ses enfants la chantent, l'exaltent, la glorifient [...] Evénement rare : un poète de 20 ans invente le nom de son pays... La revue deviendra célèbre par son universalité littéraire qui l'inscrit dans l'histoire de la poésie française. Périodique d'avant-garde, lieu de rencontre des symbolistes, La Wallonie (1886-1892) accueille les grands noms de la littérature française de la fin du XIXème siècle : Mallarmé, Verlaine, Moréas, Maeterlinck, Severin... Installé en France (1890), où il est attaché à la rédaction du Mercure de France et où il assiste régulièrement aux Mardis de Mallarmé, c'est de Paris qu'il dirige La Wallonie dont le dernier numéro paraît, selon la volonté de ses fondateurs, en 1892, en plein succès: une revue jeune ne peut être vieille et donc ne peut durer plus de sept années. Théoricien du symbolisme, Mockel est un authentique représentant du vers-librisme. Ecrivain mêlé au milieu littéraire parisien, il poursuit sa vocation d'éveilleur de la conscience wallonne. Dans un article du Mercure de France, Mockel préconise, en 1897 déjà, une solution fédéraliste au problème communautaire. Compositeur d'un Chant de la Wallonie (1911), il n'est pas étonnant de le retrouver, avec J. Destrée, à la base de la création de l'Assemblée wallonne - premier parlement informel de la Wallonie (1912)... in : "Cent Wallons du siècle" Institut Jules Destrée, Charleroi, 1995
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Importance matérielle :
184 p. : 25 cm
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