Aller au contenu principal

Andre Comte-Sponville

Numéros de page :
pp.58-59
Alors qu'il vient de consacrer son dernier livre à Montaigne, le philosophe, auteur du « Petit traité des grandes vertus » et des « Impromptus » (inspirés par Schubert) revient sur son rapport à la musique dont il pourrait dire : « parce que c'était elle, parce que c'était moi. »