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Mauritanie. Le retour des vieux démons

Numéros de page :
4 p. / p. 12-15
Le 6 août 2008, vers 7 heures, un communiqué de la présidence annonce le limogeage des quatre principaux chefs de l'armée. Deux heures plus tard, le chef de l'Etat est arrêté, sans qu'un coup de feu soit tiré. Une fâcheuse tradition qu'on voulait croire oubliée.