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Idriss Déby Itno

Numéros de page :
5 p. / p. 26-30
Le président tchadien persiste et signe : la guerre contre Kaddafi a été pour la région un facteur de déstabilisation, et la façon dont ce dernier a été tué ″laissera des traces″. Pour lui, le dictateur libyen devait certes quitter le pouvoir, mais en douceur : ″C'était possible″, regrette-t-il.