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Jordi Savall

Numéros de page :
8 p. / p. 38-42, 44-46
Il n'y a qu'un musicien pour jouer aussi bien des berceuses séfarades que le ″Requiem″ de Mozart, des madrigaux de Monteverdi ou encore, comme ce mois-ci, un opéra inconnu de Vivaldi à Versailles. Et il n'y en a qu'un, aussi, pour réunir dans ces répertoires des artistes israéliens, palestiniens, grecs ou bulgares. Car pour Jordi Savall, on ne peut faire de musique sans croire profondément à la mission de paix qu'elle porte en elle. Cette passion porte un nom : l'humanisme.