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Arcangelo Corelli

Numéros de page :
4 p. / p. 72-75
En plein baroque, alors que le violon devient ébouriffant de virtuosité et que les concertos s'écrivent à la chaîne, Corelli, mort il y a trois cents ans, se remarque par son goût pour l'équilibre et sa production réduite. Une singularité... baroque ?