Explications, en 2010, sur la densification du paysage tertiaire périphérique dans la région d'Ile-de-France où les mouvements des entreprises pendant la crise et les changements des habitudes de travail ont entraîné un transfert des immeubles de bureaux vers l'entrée des villes. Une région qui, avec 54 millions de m2 (dont 18 millions dans Paris), offre un large éventail de possibilité. Les entreprises optent pour les périphéries afin d'y implanter leur siège social en raison d'une recherche de rationalisation. Ainsi la délocalisation ne représente plus un sujet tabou mais les moyens de transport ont un enjeu crucial. Une logique ″campus″ se crée dans ces zones de bureaux en offrant un environnement propice aux salariés. Paris continue cependant de séduire les entreprises. Autre point abordé : l'essor des préoccupations liées au développement durable. Avis d'expert. Encadré : autopsie d'un marché mature, chère Défense.