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Penser le vieillissement

Numéros de page :
11 p. / p. 43-53
Pourquoi le vieillissement est-il un point de fixation de la négativité tant sur le plan des organisations psychiques individuelles que sur celui de ses théorisations ? Comment ne pas se laisser enfermer dans cette seule perspective en associant à cette négativité ce qui révèle de la pulsion de vie dans ses formes tardives et parfois surprenantes ?