On ne retrouve pas dans le cinéma de Chabrol la jubilation qui émane de l'homme. Sur l'écran se succèdent des paumés, des cinglés, des notables qui se révèlent des monstres, des victimes qui se métamorphosent en prédateurs. Plus de soixante films, avec de vrais navets et une bonne douzaine d'incontestables chefs-d'oeuvre. Tonalité générale plutôt sombre, ″série noire″.