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Baudelaire ou l'éternel confident

Numéros de page :
11 p. / p. 651-661
L'étonnement d'un regard, d'un visage et d'un nom qui retourne le coeur et le sang, le pressentiment d'une ″universelle communion″ lisible en filigrane dans les bains de foule et l'écriture baudelairienne, sont le point de départ et la destination ultime de ces pérégrinations à l'intérieur des ″Fleurs du mal″ et du ″Spleen de Paris″.