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"Il y a peu de romans comme le mien qui valorisent la figure paternelle"

Numéros de page :
2 p. / p. 26-27
A travers le portrait de son père assassiné, Héctor Abad, nouvelle figure de la littérature colombienne, interroge, dans "L'Oubli que nous serons", la violence politique de son pays et les liens filiaux.