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"Le Polar reste un mauvais genre"

Numéros de page :
4 p. / p. 74-77
Il y a une petite décennie Oliver Gallmeister, 45 ans, a créé sa propre maison d'édition. Son pari de ne publier que de la littérature américaine, et tout particulièrement du roman noir, fait aujourd'hui de lui l'héritier incontesté du grand Guérif. Entretien avec ce passeur prolifique, à l'occasion du festival international Quais du polar, du 1er au 3 avril 2016 à Lyon.