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A plein tube

Auteurs
Numéros de page :
8 p. / p. 74-81
On l'associe à la Californie ou à Hawaï, à l'Australie ou aux Beach Boys. Pour certains, c'est juste un sport. Pour ses adeptes, c'est un art de vivre. Pour Lucile Gomez, le surf était une maladie aux pour symptômes des cheveux bien trop blonds et des corps exagérément musclés. A la demande de "La Revue Dessinée", la dessinatrice n'a pas hésité à revêtir une combinaison en néoprène pour essayer de comprendre la déferlante du surf. L'occasion de revenir sur l'histoire de ce sport apparu en Polynésie au XVe siècle et que seuls les puissants pratiquaient, nus sur une planche. La dessinatrice nous en explique l'esthétique, le vocabulaire, les subtilités, et pose avec humour un diagnostic sur cette affection visiblement extrêmement contagieuse.