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La Corse, à la vie, à la mort

Numéros de page :
7 p. / p. 35-41
Albertini a vu plus de cadavres que la plupart de ses confrères du continent. Un constat dont le journaliste de "Corse-Matin", correspondant du "Monde" sur place, ne tire aucune gloire, mais qui raconte la singularité de son île, où la violence fait partie de la culture commune. Une violence que les autorités ne parviennent pas à endiguer et que lui-même ne renie pas totalement.