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″Marina Tsvetaeva ? Une affreuse bonne femme !"

Numéros de page :
9 p. / p. 77-85
A l'occasion d'une tardive traduction complète en deux forts volumes de la poésie lyrique (1912-1941) de la poétesse russe exilée Marina Tsvetaeva, Stéphanie Cochet livre une pénétrante étude de ce qui reste, pour toute la poésie du XXe siècle, l'un des plus impressionnants événements de langage. L'oeuvre de Tsvetaeva, immense et dispersée, n'est pas à l'abri des illusions de la mythologie propre aux « maudits ». Stéphanie Cochet opère ici une véritable traversée de lecture, jusque-là sans équivalent en français.