Aller au contenu principal

L'ère du soupçon

Numéros de page :
2 p. / p. 8-9
Depuis la mise en place de l'état d'urgence, le 14 novembre 2015, assignations à résidence et perquisitions peuvent être prononcées au nom de motifs très flous. Au risque de l'arbitraire. Nombre d'avocats dénoncent cette logique de suspicion.