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Lakhdar Brahimi

Numéros de page :
6 p. / p. 26-31
Quatorze mois après sa nomination, et alors que devraient se tenir fin novembre 2013 à Genève des pourparlers censés mettre un terme à la guerre civile, le médiateur de l'ONU et de la Ligue arabe pour la Syrie ne se berce guère d'illusions : s'il appelle de ses voeux ″une nouvelle République″ dans ce pays dévasté, ce diplomate algérien au long cours n'ignore rien du fossé de haine fratricide qui sépare les belligérants.