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Une |Défaite qui vient de loin

Auteurs
Numéros de page :
pp.51-57
Chaque fois que les socialistes au pouvoir subissent une lourde défaite surgit la même explication paresseuse : " Si nous avons perdu, c'est parce que, une fois encore, nous n'avons pas été assez à gauche. Nous avons capitulé, au choix, devant le libéralisme, le patronat, la finance, les bonzes de Bruxelles, les gnomes de Zurich, l'impérialisme américain, l'hégémonisme allemand..."...