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Jérémie Assous, le Monsieur 100 000 volts du barreau.

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Numéros de page :
pp.9-10
Le procès de l'affaire de Tarnac s'ouvre mardi 13 mars au palais de justice de Paris, et vous pouvez déjà réserver une place devant la salle des criées, à la fin du mois, lorsque M. Jérémie Assous prendra la parole pour plaider la relaxe de Julien Coupat et de ses camarades : il faudra sans doute faire la queue. Parce que c'est Tarnac, un des plus beaux micmacs politico-judiciaires de ces dernières années, une affaire de terrorisme qui n'en est plus une. Et parce que c'est Assous, l'un des spécimens à robe noire les plus intéressants du microcosme.