Aller au contenu principal

Une|Grève du sexe pour défendre le droit à l'IVG ?

Numéros de page :
pp.18-19
Le 12 mai, l'actrice américaine Alyssa Milano invitait les femmes à entamer une « grève du sexe». En réponse aux lois anti-IVG - récemment votées en Alabama, en Géorgie et au Missouri - très commentées et critiquées jusque dans les hautes sphères de l'Etat... français. « Faire la grève du sexe, c'est aussi se priver soi-même », rétorquait notre secrétaire d'Etat à l'Egalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa. Alors, doit-on, comme d'autres femmes avant nous dans l'Histoire, mettre nos corps au service d'une cause politique ?