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Mexico, une ville qui boit à sa perte

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Numéros de page :
pp.42-45
Dans la capitale mexicaine, ce sont des camions-citernes qui approvisionnent certains quartiers en eau. Et l’assèchement est tel qu’il fragilise même les fondations de la cité, qui s’affaisse par endroits, raconte l’essayiste sud-africaine Rosa Lyster. Une situation emblématique de ce qui attend de nombreuses métropoles dans le monde.